Non content d'avoir provoqué une recrudescence de syncopes, crises cardiaques et cauchemars en tout genre avec leur premier opus, Visceral Games a décidé d'en remettre une couche...
Au XXVIe siècle, les humains se déplacent en vaisseaux spatiaux et explorent les confins de l'univers pour trouver de nouvelles ressources. L'un de ces vaisseaux, l'USG Ishimura, n'émet plus aucune communication et une équipe est envoyée pour investiguer sur les raisons de ce silence radio et réparer les éventuels dysfonctionnements. Au sein de cette équipe, un ingénieur, Isaac Clarke, va rapidement devoir prendre les armes et tout ce qu'il trouve sur place pour pouvoir survivre à des hordes de monstres féroces, les nécromorphes, colons morts ayant été transformés par un organisme extraterrestre suite à la découverte d'un vestige, le monolithe, sur la planète Aegis VII.
Il parviendra, non sans mal, à vaincre tous ses ennemis pour finalement détruire la reine mère et s'échapper à bord d'un vaisseau intermédiaire. Mais sa fiancée, Nicole Brennan, lui réservera une surprise de taille à peine l'engin décollé... Voici les briques posées par le premier opus.
L'histoire du second prend place 3 ans plus tard, sur une station spatiale impressionnante de taille, nommée "The Sprawl" (La Méduse), où Isaac Clarke a été pris en charge par des scientifiques et est en proie à de nombreuses visions et flashbacks de sa fiancée dans sa version "monolithée" avec, pour couronner le tout, des trous de mémoire sur sa précédente aventure. Nous démarrons le jeu alors que le virus extraterrestre déjà connu commence à peine à se répandre sur la station et infecte tous ceux qu'il rencontre sur son passage, toujours par le biais de ces monstres rampants qui mutent les cadavres : les Infectors. Nous assistons cette fois davantage à cette vague de terreur puisque nous la vivons en simultané avec les colons, que nous voyons courir, se débattre, crier... et comme le dit le dicton relatif au jeu : "Dans l'espace, personne ne vous entend crier". Car oui, une fois encore vous êtes seul contre tous et allez devoir user de vos armes fétiches pour démembrer des Nécromorphes et autres monstres dérivés, en y combinant vos sempiternelles aptitudes fétiches : stase et télékinésie.
Qu'étudiaient les scientifiques de cette station spatiale ? Ces visions vont-elles disparaître, s'atténuer, ou bien s'amplifier ? Parviendrons-nous cette fois à détruire le monolithe qui engendre cette vague d'horreur ou devrons-nous une fois encore fuir la menace ?
The Sprawl, voyons ce que tu nous réserves...
Commenter 36 commentaires
D' une part car un développement bien abouti est un gage de qualité contrairement à un développement précipité afin de rapporter du pognon plus vite (J' entends "Activision"?)
Peut-être qu'il devient plus interressant ensuite, mais pour l'instant, j'ai vraiment pas envie d'y jouer... :/
par contre j'ai un petit bémol a mettre sur votre listages des nécros.
le hunter... c'est pas l'immortel du un??
Dead Space est une de ces rares vraies licences sur cette génération et je ne compte pas passer à côté avec cet opus.
Merci pour le test
Maintenant que j'ai fini ds2, j'ai vraiment hâte de retrouver Isaac et sa horde de nécromorphes .
Effectivement, il nous faudra être patient, et largement attendre 2 ans comme tu l'as si malicieusement et subtilement suggéré, pour pouvoir prétendre à un superbe autre opus.
Il fait partie de mes jeux cultes.
10 heures ? C'est pour les génies du pad (je ne parle pas de le faire en mode neuneu).
Dead Space c'est ce qui se fait de mieux en terme de flippant. Il faut juste y jouer dans de bonnes conditions : noir, bon son (casque 5.1 par exemple)... et un coeur bien accroché.
Pour info, il avait été noté 19 mais après délibération, il a été descendu à 18... mais pour moi cela reste un 20/20 :-)