Call of Duty: Black Ops III : Le rouleau compresseur Call of Duty revient (encore), pour la onzième année consécutive, et il fait comme toujours très mal.
En revanche, au niveau des mécaniques de jeu, la recette est clairement plus accessible et maîtrisée. Dans les grandes lignes, nous avons affaire à un FPS classique, et de qualité, avec toute la variété d’armes, la personnalisation de classe et la tension que cela applique. Là où Black Ops III se démarque, c’est avec ses Tactical Rigs et ses Cybercores. En échange de points glanés au fil des niveaux gagnés en solo, nous pouvons ainsi acheter des Tactical Rigs, des bonus liés à différents aspects du combat (santé, attaques, mouvements), avec l’obligation de n’en associer que deux à une seule classe personnalisable.
L’alchimie et la complémentarité des pouvoirs permettent de développer une équipe de choc.
Plus intéressant encore, les Cybercores sont scindés en trois arbres (robotique, déplacements et coups offensifs), avec des compétences à acheter puis à améliorer une fois. Ici encore, il n’est possible d’associer qu’un arbre à une classe. Les habiletés varient véritablement du tout au tout, certaines permettant de neutraliser des robots, d’autres d’en prendre possession, une autre encore de lancer des essaims d’abeilles robotiques sur des ennemis humains… En associant armes, grenades et compétences de notre choix, vous l’aurez compris, il est clairement possible de changer son approche du gameplay, en se rendant plus performant face à certains ennemis que d’autres, ou en se rendant plus à l’aise face à certains environnements.
Là où tous ces éléments prennent toutes leurs mesures, c’est avec le mode coopératif. Car oui, cet épisode propose une campagne en coopération jusqu’à quatre, seul ou en multijoueur. L’alchimie et la complémentarité des pouvoirs permettent de développer une équipe de choc, fonctionnelle et procurant toujours autant de plaisir de jeu. Mieux, tous les niveaux ont été pensés comme une alternance de couloirs et de zones ouvertes, pour offrir des approches nombreuses et différentes de chaque décor, permettant à toute une escouade d’évoluer sans se marcher dessus, et de développer un assaut en accord avec ses compétences.
Ajoutez à cela un hub entre les missions pour personnaliser ses classes et compétences, obtenir des informations sur l’univers et les objectifs, et accéder à une mission en réalité augmentée à mi-chemin entre le défi et l’entraînement, ainsi que des défis de mission et des médailles, et vous obtenez une expérience complète. Certes, il ne faut qu’environ huit heures pour parcourir le scénario dans son ensemble, mais le potentiel de rejouabilité est important, qui plus est avec des modes de difficulté correctement échelonnés allant de la partie de plaisir au chemin de croix où quelques balles mènent un homme à terre. Et ce n’est pas nous qui allons vous apprendre que le fun en coopération est potentiellement infini, surtout dans un jeu pensé pour.
Commenter 43 commentaires
Et sur pc cest le désert
Bon dans les plus le mode zombie je suis vraiment pas fan
Et 18 ayant fait la bêta, je suis étonné.
Attentat dans l’aéroport, évasion de prison soviétique, mort de ghost et il y en a tellement...
Alalala je vous aime, continuez comme ça, jusqu'à votre disparition
Plutôt que de lancer des piques qui ne font rien avancer, il aurait été intéressant que tu nous parles des bugs et sur quelle version les as-tu rencontré. Pour information le test a été réalisé à partir d'une version PS4.
Je pense pas être le seul a trouver le jeu fade. Le solo c'est COD.
Seul le mode zombie pour donner un peu de profondeur au jeu .