L'histoire du robot vert en quelques pages.
Android 2.2 FroYo a été publié en milieu d’année 2010 et c’est le Nexus One qui en a profité le premier, montrant ainsi l’avantage du programme Nexus.
Qu'y a-t-il au menu ? L'UI (NDLR : l'interface utilisateur) s'est vue complètement redessinée : 5 écrans d’accueil au lieu de 3, des raccourcis vers les applications Téléphone (Dialer) et Navigateur à côté du lanceur d’applications et les points de chaque côté des raccourcis qui donnaient à l’utilisateur une indication sur l’écran en cours de visualisation. Certaines de ces modifications étaient déjà apportées par Sense de HTC.
FroYo incluait également une application Galerie totalement repensée, mettant en vedette les effets 3D de la plateforme pour la toute première fois : inclinez votre téléphone et les images basculent avec des effets de transition peu courants pour Android.
D’autres nouveautés cruciales ont aussi été incluses, comme la possibilité de transformer son smartphone en hotspot Wi-Fi mobile, une amélioration du copier-coller, la compatibilité d'Adobe Flash sur les smartphones ou encore l’ajout d’un écran de verrouillage à mot de passe/code PIN.
Environ un an et demi après le lancement de FroYo sur le Nexus One, Google décida de retenter l'aventure avec Android 2.3. Cette fois ci, avec Samsung pour produire le Nexus S, un dérivé du GALAXY S. Bien que ce dérivé ne soit en réalité pas beaucoup plus avancé que l'original, il apporte toutefois une nouvelle forme grâce à sa courbe, son écran brillant et sa coque sombre.
Gingerbread a été, à bien des égards, une mise à jour mineure, même si celle-ci a apporté quelques améliorations à son hôte. D'une part, les widgets ont reçu un coup de jeune, l'interface utilisateur s'est mise au vert et la barre de notifications est devenue noire avec une police blanche allouant un gain de batterie et une amélioration du rendu sur les écrans de type AMOLED.
Cette mise à jour est aussi source d'améliorations pour le copier-coller et le clavier qui supporte désormais le multi-touch, une meilleure autonomie et optimisation, la prise en charge du capteur frontal et des puces NFC.
Google a également profité du lancement de Gingerbread pour gagner un peu de terrain sur le marché du jeu mobile, un domaine où iOS dominait largement. Cette version accorde aux développeurs un accès à différents outils qui leur permettent de coder leurs applications en natif, bénéfice non négligeable pour créer des jeux optimisés.
Commenter 8 commentaires
Une news du même genre sur les sites GEN serait top
C'est sympa d'en apprendre plus, notamment sur les débuts.
Joyeux anniversaire à Android et longue vie au robot vert
En effet d'après cette phrase tu (permet que je puisse te tutoyer ) laisses clairement entrevoir qu'un appareil sous android est activable plusieurs fois et cela compterait dans le nombre d'activation final d'android par jour. Ce qui est tout a fait faux.
Chaque appareil android n'est compté comme une activation qu'une seule fois pour toute la durée de vie de l'appareil. Les roms custom apportent une diversité et un attrait certain a android c'est vrai ( et encore c'est pour une minorité d'utilisateurs) mais on aura beau flasher n roms sur un même terminal qu'il ne comptera toujours que pour une seule activation et non plusieurs.
Pour un blog/forum focalisé sur android ce genre de confusion n'est pas acceptable. Stp bien vouloir modifier cette phrase ou alors être plus explicite.
P.S. Merci pour ce résumé. ça fait toujours plaisir de revoir par où on a pu passé. souvenir souvenir....
A l'époque, j'avais encore de bons vieux Sony Ericsson qui tournaient sur OS propriétaire. Une chose est sûre, Android a permis aux constructeurs de ne pas se faire bouffer par Apple. J'ai vraiment hâte de voir ce que donnera Android dans le futur