TEST - Final Fantasy XIV: A Realm Reborn - Éorzéa, nous voilà !

De prime abord, nous sommes lancés dans le monde d'Éorzéa par la porte que nous désirons. En effet, si notre race n'a aucune incidence sur notre aventure, ce n'est pas le cas de notre classe qui, en plus de jouer sur nos compétences, influe aussi sur notre ville d'origine et donc nos premières heures de jeu. Nous avons le loisir de choisir la taille, la teinte de peau, ou même l'apparence physique de notre héros grâce à un outil qui, sans égaler la liberté d'un créateur de personnages des Sims, nous permet d'apporter notre patte à notre aventurier.

il suffit de cliquer, de cliquer, de cliquer.

Dans notre cas, nous nous lançons à Limsa Lominsa, gigantesque ville portuaire aussi majestueuse que vivante. Divisée en quartiers et sur plusieurs étages, la cité accueille d'innombrables commerces et PNJ, nombre d'entre eux étant capables de donner des missions qui feront nos premiers faits d'armes. Enfin, "faits d'armes", vos premiers objectifs consistent surtout à faire le larbin de service, que ce soit en ramassant des légumes, en rallumant des lampes ou en portant des messages. Elle est belle, l'épopée ! Et malheureusement, notre quête mettra du temps, beaucoup de temps, à prendre de l'ampleur et à connaître davantage d'envergure que les simples déplacements et combats à la chaîne.

Parlons-en, du système de combat d'ailleurs. Au fil de notre montée de niveaux, nous débloquons des compétences qui varient en puissance, en effets et en coût de points techniques, le système d'affinité entre les attaques et les cibles étant presque inexistant. Un trop peu de variété au niveau des coups est donc à signaler et heureusement qu'il sera possible d'apprendre de nouvelles habiletés avec notre classe pour diversifier un peu tout ça, ou les affrontements auraient vite viré à la monotonie, bien qu'ils passent de peu à côté. Avec une barre de points techniques rechargeable qui, sauf folie, peine à se vider si vous n'enchaînez pas les joutes, vous serez toujours en action ou presque, étant donné qu'il faut attendre que la barre d'action propre à chaque type de coup spécial se remplisse pour pouvoir l'utiliser. Le rythme des combats est donc très lent, bien qu'ils soient en temps réel et non au tour par tour. Puisqu'il n'existe pas vraiment de système de force et de faiblesse entre nos armes et nos cibles, la seule solution reste l'acharnement et, parfois, l'esquive de coups préparés. Point de tactique particulière à employer, il suffit de cliquer, de cliquer, de cliquer, de préférence face à un monstre de niveau proche du nôtre.