Versus Fighting, eSport, concerts, bornes d'arcade, tournois, speedruns, superplays, conférences, voilà ce qu'il y avait à Rennes ce week-end.
Dès l'entrée du Stunfest, soit au rez-de-chaussée du Liberté, le visiteur est directement plongé dans l'ambiance avec de très nombreuses bornes d'arcade et consoles disponibles pour exposer son skill ou simplement s'amuser entre amis. Plusieurs associations locales et françaises avaient fait le déplacement pour animer le festival, comme HyperFreeSpin, Double KO, FFVIMan, Speed Them All, MO5, Nantes No Otaku ou encore le Simm's Club.
Les joueurs pouvaient ainsi essayer dans l'Espace Freeplay Mario Kart à 12 joueurs sur Wii, DoDonPachi, The House of the Dead 4 (où la borne d'arcade est malheureusement devenue plus morte que vivante très rapidement), Dance Dance Revolution SuperNOVA 2, Double Dragon sur Atari ST, The King of Fighters XIII, divers Street Fighter, Saturn Bomberman à 10 joueurs, Under Night In-Birth EXE:Late, des jeux SNK sur Neo-Geo, Project Diva, Windjammers sur arcade, Pokkén Tournament, mais aussi des bornes créées par des passionnés regroupant plusieurs titres sur une même machine grâce à des émulateurs et des Raspberry Pie ou d'autres consoles modifiées. Jeux de combat, course, shoot'em up, beat'em all, tous les genres y passent et la saga DOOM a même eu droit à un espace dédié pour célébrer la série (et son retour au début du mois) avec la possibilité d'essayer le FPS d'id Software sur différentes consoles (Super Nintendo, PSOne Combo, Xbox et même Jaguar d'Atari) et bien sûr sur PC, en LAN à quatre ou avec le mod Brutal DOOM.
En plus de tout cela, cet Espace Freeplay invitait les visiteurs à participer à des tournois entres amateurs sur Mario Kart ou Pokkén Tournament, à tester leurs connaissances musicales avec des blind-tests, à admirer des speedruns sur divers titres comme The Legend of Zelda: Ocarina of Time ou Resident Evil 4, à se cultiver avec les éditions Pix'n Love et leurs livres très documentés ou leurs artbooks, à modder gratuitement ses consoles SNES ou à se détendre autour du bar, juste à côté de bornes de Lastfight, un jeu de combat influencé par les Power Stone qui vient de sortir sur PC.
Difficile de s'ennuyer au rez-de-chaussée du Liberté ce week-end et, malgré la forte affluence les samedi et dimanche, l'attente en valait clairement la peine, ne serait-ce que pour découvrir des jeux japonais très difficilement trouvables en France.
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