Côté jeux vidéo et mangas, le FIDJ de Cannes n'a vraiment pas de quoi passionner. Nous y avons cependant rencontré le président du PEGI qui a pu constater que ses "recommandations" ne sont clairement pas suivies ni par les enfants, ni par les parents ou encore par les organisateurs du salon.
En dehors de ces points forts, il y avait de quoi s'amuser, mais rien de bien passionnant au final. Aucun constructeur n'était directement présent et les bornes mises à disposition étaient gérées par des associations.
Point de nouveautés ou d'exclus, ici les consoles offraient des jeux de l'année et des classiques que tout un chacun possède en général. Un îlot avec des bornes Wii, un autre avec des bornes Xbox 360 et un espace Freeplay avec quelques PC étaient les principaux points d'intérêt.
L'espace était aussi occupé par Azur Games, une association, qui proposait des jeux musicaux comme Dance Central, Rock Band, Dj Hero et surtout DDR. L'initiative est très sympathique même si les stands manquent cruellement de décorations et d'habillage.
Insolite : un grand écran pour une image minuscule.
La Nintendo's league était aussi au rendez-vous et animait quelques stands dont un, très amusant, où il fallait piloter un Mario les yeux bandés en suivant les conseils de son partenaire.
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