Portal 2 : Après nous avoir surpris avec Portal premier du nom, Valve peut-il nous faire vibrer une nouvelle fois avec sa suite ?
Si nous étions des rats de laboratoire, notre réaction et notre but seraient tout simplement de nous échapper des salles de torture auxquelles nos bourreaux (en l'occurrence Glados et Wheatley) nous soumettent au fur et à mesure que le temps passe. À l'instar de Chell, le personnage que nous incarnons, nous serions en quelque sorte le libérateur de notre espèce.
Comme nous l'avons précisé auparavant, Portal 2 nécessite trois qualités chez les joueurs : observation, réflexion et logique. Elles sont essentielles pour la résolution des énigmes et nous accompagnent tout au long de notre périple dans les locaux d'Aperture Science, que nous retrouvons pour la seconde fois. La seule différence toutefois notable est que ceux-ci sont à présent en ruines et totalement laissés à l'abandon depuis la fin des aventures que nous avons vécues lors du premier épisode de la licence, dont l'histoire se déroule cent ans auparavant. Nous embarquons donc pour une nouvelle croisière (qui ne s'amuse pas forcément pour certains...) dans la peau de Chell, et avons pour mission de traverser les salles de tests d'Aperture Science tout en résolvant les énigmes qui nous sont proposées afin d'atteindre notre objectif.
Voici l'une des salles que nous devons traverser. Vous voyez le petit panneau blanc ?
Après un didacticiel qui nous apprend à maîtriser les bases du gameplay de Portal 2, d'une durée relativement conséquente sans pour autant chipoter sur de minuscules détails sans intérêt, nous entrons dans le vif du sujet avec un Wheatley plutôt pressé de sortir (qui ne le serait pas en étant prisonnier ?) et une Glados qui ne pense qu'à tester, tester, et... tester... euh, avons-nous précisé qu'elle adore les tests ? Nous comprendrons ensuite pourquoi Wheatley se hâte tant et nous demande de faire de même, mais c'est à vous de découvrir pourquoi et comment le scénario va évoluer au fil des expériences et des chapitres.
Le gameplay en lui-même est bien pensé, quoiqu'un peu basique sur certains aspects et n'innovant pas énormément par rapport au premier opus. Le système de portails est exactement le même qu'avant, à la différence que nous sommes aujourd'hui sur une version console et non PC ou Mac. L'utilisation des gels (propulsif, conversif et répulsif) apporte un grand plus et permet de tenir en haleine le joueur tout au long de l'aventure, puisque tout ne nous est pas donné dès le début, mais au contraire bien réparti et laissant l'opportunité de maîtriser le premier avant de pouvoir utiliser le second, etc., et ce jusqu'à ce que nous sachions gérer l'intégralité de ces éléments. D'ailleurs, les chasseurs dont nous faisons partie sont bien contents de voir que nous pouvons débloquer quelques trophées grâce à ceux-ci.
Les cubes font également leur grand retour, car vous vous doutez bien que nous ne pourrons pas à la fois appuyer sur les boutons et passer les portes de sortie en même temps, la division des corps n'étant tout simplement pas prévue à l'ordre du jour, ni par nous, ni par les développeurs. Nous nous contenterons donc de jouer avec des cubes et des interrupteurs, les transporter de leur point de chute (ou de départ) jusqu'à leurs interrupteurs et ensuite, seulement ensuite, nous pourrons passer la sortie et changer de salle de test pour aller vers les suivantes. Chouette ! Plus que 134 987 salles ! Euh, non, pas vraiment, mais cela aurait pu se produire tant les possibilités sont nombreuses et variées.
Commenter 30 commentaires
Lire la news : TEST - Portal 2 : Chell l'éclate ou Chell pas l'éclate ?
Les graphismes sont sobres, cela ne veut pas dire qu'ils sont moches...
Le vraie gros défaut est la durée de vie je dirais. Mais ça reste un bon jeu qui apporte un petit vent de fraîcheur dans le monde du fps
Et quel est ton avis sur les graphismes de Call Of Duty? Digne de la PS1?
Désolé mais Portal 2 a de sublimes graphismes, comme dit, ils ne sont pas au niveau d'un uncharted mais de la à dire de niveau PS2?! Dans ce cas Driver San Francisco à des graphismes de PS2 aussi!
15 pour ce jeu? il mérite au moins 18 selon moi bien sur. Ce jeu est avec Uncharted le meilleur de la génération actuelle.
Et n'oublions pas la politique de Valve: DLC gratuit!! et musiques du jeu gratuite!!!! Très Très rare de nos jour!
Le jeu ne coute que 40 €, donc tout est relatif...encore que pour un vieux moteur, il reste bien au dessus de certaines productions sur PS3.
C'est là tout l'intérêt du jeu ! Oo
10/20 pour les graphismes c'est sévère. Les graphismes sont très acceptables et le jeu a sa propre identité visuelle, tout comme Mirror's Edge par exemple. 10/20 c'est à la limite ce que je donnerais à la longue liste de jeux de rôle en cell-shading, car à part la résolution qui est meilleure c'est pareil qu'un jeu PS2.
moi qui vous croyait compétant
"graphisme digne de la PS2" pff et puis quoi encore !