Portal 2 : Après nous avoir surpris avec Portal premier du nom, Valve peut-il nous faire vibrer une nouvelle fois avec sa suite ?
Dans un environnement avec une vue à la première personne, où tout nous semble à la fois décousu et impressionnant de logique et de réflexion, nous débarquons une nouvelle fois dans les locaux d'Aperture Science, que nous décrirons en quelque sorte comme étant le berceau de la technologie des portails, technologie que nous utiliserons tout au long de notre expérience vidéoludique. Oui, nous parlerons bien d'expérience vidéoludique, puisque Valve a tout simplement fait en sorte que Portal 2 ne ressemble à aucun autre jeu connu, si ce n'est son prédécesseur, Portal premier du nom.
Le concept est très simple, et pourtant très accrocheur. Nous devons nous rendre d'un point A à un point B en nous servant de l'unique façon possible pour y arriver : ouvrir des portails et passer à travers eux pour rejoindre notre destination. Bien entendu, d'autres capacités nous seront offertes au fur et à mesure que nous réussirons à passer les salles de tests, comme le gel répulsif ou, à l'inverse, le gel propulsif, mais nous parlerons de tout cela un peu plus tard. Réflexion, observation et logique sont trois mots qui résument parfaitement les qualités dont nous devons faire preuve afin de progresser dans notre aventure, surtout quand les différents gels font leur apparition. Là aussi, ces aspects seront abordés plus loin dans le test de manière plus détaillée.
Avec deux modes de jeu disponibles, solo et coopération (dont le scénario suit d'ailleurs celui du mode solo), Portal 2 entend s'imposer non pas comme une simple suite du premier opus sorti il y a maintenant pratiquement quatre ans, mais bel et bien comme un jeu à part entière dont les joueurs se souviennent, et auquel ils prennent toujours autant de plaisir à jouer, que ce soit pour son gameplay ou son humour, toujours aussi présent et cinglant. Vous aimez vous faire insulter par des inconnus tout en riant de leurs piques ridicules ? Venez nous voir, c'est ici que cela se passe.
Wheatley et Glados nous attendent, et le mieux que nous puissions faire est de les rejoindre afin de découvrir par nous-mêmes ce qu'ils veulent de nous, et surtout ce qu'ils veulent pour eux, ce qui est loin d'être évident dans les premiers chapitres. Nous comprendrons néanmoins cela petit à petit avec la suite du scénario, pas toujours facile à assimiler, mais accessible pour les amateurs qui n'auraient pas joué au premier opus.
Commenter 30 commentaires
Lire la news : TEST - Portal 2 : Chell l'éclate ou Chell pas l'éclate ?
Les graphismes sont sobres, cela ne veut pas dire qu'ils sont moches...
Le vraie gros défaut est la durée de vie je dirais. Mais ça reste un bon jeu qui apporte un petit vent de fraîcheur dans le monde du fps
Et quel est ton avis sur les graphismes de Call Of Duty? Digne de la PS1?
Désolé mais Portal 2 a de sublimes graphismes, comme dit, ils ne sont pas au niveau d'un uncharted mais de la à dire de niveau PS2?! Dans ce cas Driver San Francisco à des graphismes de PS2 aussi!
15 pour ce jeu? il mérite au moins 18 selon moi bien sur. Ce jeu est avec Uncharted le meilleur de la génération actuelle.
Et n'oublions pas la politique de Valve: DLC gratuit!! et musiques du jeu gratuite!!!! Très Très rare de nos jour!
Le jeu ne coute que 40 €, donc tout est relatif...encore que pour un vieux moteur, il reste bien au dessus de certaines productions sur PS3.
C'est là tout l'intérêt du jeu ! Oo
10/20 pour les graphismes c'est sévère. Les graphismes sont très acceptables et le jeu a sa propre identité visuelle, tout comme Mirror's Edge par exemple. 10/20 c'est à la limite ce que je donnerais à la longue liste de jeux de rôle en cell-shading, car à part la résolution qui est meilleure c'est pareil qu'un jeu PS2.
moi qui vous croyait compétant
"graphisme digne de la PS2" pff et puis quoi encore !