Metro: Last Light : Avez-vous peur du noir ?
Ce Metro: Last Light paraîtra linaire pour certains. Pour cause, nous partons d'un point A pour rejoindre un point B, tout en massacrant quelques opposants sur notre route. Néanmoins, la trame narrative est tellement prenante que nous ne voyons pas le temps défiler. En somme, il est difficile de s'ennuyer.
Notre protagoniste ne parle pas, sauf durant les transitions entre les chapitres pour récapituler une situation. La raison est toute simple, puisque c'est le joueur qui est le héros de cette histoire. Les développeurs ont donc su nous plonger dans cette adaptation du roman de Dmitri Gloukhovski.
Le monde vidéoludique prime sur le Septième Art cette fois-ci et c'est tant mieux. Avec des graphismes surprenants, un monde lugubre à visiter et des personnages attachants, il est dur d’arrêter une partie en cours de route. Certains s'acharneront pendant de longues heures voire des nuits entières sur leur manette, pour enfin connaître le dénouement final.
Test réalisé à partir d'une version nord-américaine
- Ça flatte la rétine
- L'histoire captivante
- L'univers prenant
- Les phases d'infiltration
- Une prise en main efficace
- Un peu court
- L'IA (Intelligence Artificielle) des ennemis à mourir de rire
- Un mode (Ranger) vendu en DLC
Commenter 7 commentaires
Lire la news : TEST – Metro: Last Light – Il fait bon vivre dans les souterrains
mais peur d'etre un peu deçu
quelle immersion ^^
J'ai les boules quoi !!!