TEST – Metro: Last Light – Il fait bon vivre dans les souterrains

Pour ceux qui ne le savent pas, cette série est tirée d'un livre qui a cartonné en Russie : Métro 2033. Cette adaptation vidéoludique reprend le même univers, la même atmosphère ainsi que les mêmes personnages. Après le ravage de plusieurs bombes nucléaires, la Terre est devenue inhabitable. Pour fuir les radiations, l'Homme s'est réfugié dans les souterrains d'un métro. C'est alors que plusieurs micro-sociétés ont vu le jour.

Plus d'une trentaine de chapitres sont disponibles.

D'un côté, nous avons le parti du Reich, représentant le coin des Nazis, de l'autre la Ligne Rouge, symbolisant les Communistes, pour finir avec L'Ordre des Rangers. Si certains cherchent simplement à vivre en paix, d'autres songent à dominer leur voisin afin de devenir les maîtres de ce nouveau monde. À tout cela, ajoutez une histoire mêlant un jeune mutant et vous obtenez une trame narrative qui vous tient en haleine devant votre écran.

Plus d'une trentaine de chapitres sont disponibles. Malheureusement, certains sont courts et se terminent en un clin d’œil. Il faut alors prendre son temps pour visiter les lieux, trouver quelques « trésors » et troquer avec divers marchands. Pour sûr, plus nous progressons et plus nous ramassons de balles. Ces dernières remplacent la monnaie actuelle et permettent d'obtenir de nouveaux engins de la mort, d'acheter des munitions ou d’améliorer une arme fétiche. Au final, rendre son temps et admirer les différents recoins est primordial pour comprendre cette civilisation et pour avancer avec aisance.