TEST – Metro: Last Light – Il fait bon vivre dans les souterrains

Deux types d'environnements nous sont suggérés. D'un côté, nous avons les sortes de villes souterraines se situant dans les stations et lignes de métro ; de l'autre, la surface, avec des bâtiments et champs dévastés. Les développeurs se sont cassés la tête pour essayer d'en mettre plein la vue. Résultat ? Le rendu final a de quoi impressionner. Les décors sont blindés de détails ,qui nous plongent littéralement dans cet univers psychédélique, les jeux d'ombres et de lumière sont stupéfiants, éblouissants, et le level desgin a tout simplement été conçu par des génies.

Le rendu final a de quoi nous impressionner.

C'est propre, c'est net, c'est parfait. Mais y a-t-il au moins des défauts à prendre en compte ? Rien de bien méchant, mais nous avons rencontré de légers et minis bugs de collision et des textures sommaires sur certains personnages. Point d’inquiétude, le tout passe inaperçu, puisque la réalisation globale prend le dessus. Projection de sang sur notre masque à gaz, explosion de murets, découpage d'un cadavre au sol... La physique du jeu est vraiment au poil. En un seul mot : bravo !

Pour parler rapidement de la partie sonore, cette production est entièrement doublée en français, ce qui n'est pas déplaisant pour les esgourdes. De plus, des sonorités dans un ton dramatique ou mystérieux nous immergent complètement dans ce monde où l'Homme cherche de nouveau sa place.