TEST – Metro: Last Light – Il fait bon vivre dans les souterrains

Comme tout bon FPS qui se respecte, la prise en main se fait rapidement et sans prise de tête. Les gâchettes permettent de viser et tirer, mais également de projeter quelques objets tels que des grenades ou autres lames bien tranchantes. Notre personnage peut courir, s'accroupir, sauter, soit des mouvements de base qui peuvent être utiles selon les situations.

Appuyer ou ne pas appuyer sur la gâchette ? Telle est la question.

Passons donc aux choses sérieuses : la partie gros calibre. Nous avons la possibilité de transporter trois armes, en plus des diverses dynamites. Pas de quoi nous ronger les ongles à nous demander si, oui ou non, nous pourrons nous procurer d'autres ustensiles dévastateurs, puisque tout au long de notre aventure, divers revolvers ou fusils jonchent le sol. Une simple pression sur la touche adéquate permet de jouir d'un nouveau joujou. Néanmoins, une chose est à prendre en compte : faites attention à vos munitions. Les balles se font rares et sont restreintes. Appuyer ou ne pas appuyer sur la gâchette ? Telle est la question.

Ensuite, une partie du jeu nous a égayés en nous plongeant dans un Metal Gear à la première personne ; les phases d'infiltration. Nous avons alors le choix : soit nous rentrons dans le tas en massacrant tout sur notre passage, soit nous nous la jouons Batman en marchant dans l'ombre et en éliminant sans faire un seul bruit. De ce fait, il suffit de se rendre derrière un ennemi et de l'achever ou l’assommer. Petit bémol, il est dommage de ne pas avoir la possibilité de déplacer un corps afin d'éviter de se faire repérer par moment.

Les étapes se situant à la surface nous mettent la pression, puisqu'il est impossible de respirer. Nous nous devons alors d'utiliser un masque à gaz pour progresser. Oui, mais l’oxygène est limité... C'est pourquoi il faut se faire une petite réserve de bouteilles avant de nous lancer dans ces ruines bondées de créatures en tout genre.