Assassin's Creed Odyssey : Nous avons pu approcher le nouvel Assassin’s Creed. La Grèce antique réussit-elle à la licence d’Ubisoft ?
Que retenir de cette première approche d’Assassin’s Creed Odyssey ? Premièrement, comme nous l’avons signalé, le système de jeu est directement basé sur celui d’Origins. Ceux qui ont eu du mal avec les changements opérés dans le dernier épisode en date ne devraient donc pas s’y retrouver dans ce nouveau titre.
Cette première heure au contact d’Assassin’s Creed Odyssey nous a laissé une impression plutôt positive.
Concernant les graphismes, le titre nous a agréablement surpris. L’univers est riche, coloré et plus varié que celui d'Origins. Il faut dire que dans ce dernier, le désert dominait et donnait peu de place à la diversité. Les animations sont fluides, que ce soit pour les personnages, la faune ou encore la mer, qui va reprendre une place importante.
En effet, les batailles navales sont de retour ! Impopulaires dans le troisième opus numéroté puis véritable phénomène dans le quatrième, les affrontements en pleine mer seront bien de la partie. Si nous étions plutôt emballés à la base, nous émettons quelques réserves au final.
En effet, si nous retrouvons les chansons de l’équipage (bien que les quelques chants que nous avons pu entendre soient moins entrainants que leurs homologues dans Black Flag) et si la navigation en elle-même reste sensiblement identique, il manque un détail de taille : les canons. Les seules armes à distance dont nous disposons sont donc les flèches et les lances, qui ont une portée nettement moins grande et qui font moins de dégâts. Les combats sont donc plus rapprochés et plus longs que dans le quatrième épisode. Du moins, c’est l’impression que nous avons eue après un court passage dans les mers et qui demandera à être confirmé.
Pour ce qui est des combats, nous sommes de nouveau dans la lignée de ce qui se faisait dans Origins, mais il nous a semblé que la difficulté était relevée. Déjà, dans notre exploration, mais surtout dans la bataille de conquête. Cette dernière débute par un affrontement entre deux armées sur la plage et à laquelle nous prenons part. Si nous pouvions reprocher aux premiers titres de la série une intelligence artificielle à la ramasse, avec les gardes qui attaquaient l’un après l’autre, nous nous sommes parfois retrouvés ici face à trois ou quatre adversaires, dont des généraux ennemis, qui n’hésitaient pas à attaquer en même temps. Le résultat est bien simple, nous avons échoué quatre fois à cette mission : deux fois suite à la mort de notre personnage, deux autres suite à la défaite de notre armée. À voir s’il s’agit d’un problème d’équilibrage ou d’une volonté des développeurs de proposer un peu plus de challenge.
Si nous avons pu effectuer quelques choix dans les dialogues que nous avons eus lors de la démo, cette dernière était trop courte que pour se rendre compte de l’impact de ceux-ci sur l’évolution du scénario.
Au final, cette première heure au contact d’Assassin’s Creed Odyssey nous a laissé une impression plutôt positive. Nous avons certes quelques réserves, notamment sur les batailles navales, mais l’univers, les graphismes et la volonté des développeurs de renforcer la dimension RPG et l’impact du joueur sur le scénario et le monde nous donnent envie d’en voir plus.
Commenter 20 commentaires
Et l’histoire semble être redevenue partie prenante du jeu avec des choix et conséquences, ça devrait moins m’ennuyer qu’Origins.
Hop préco !
Euuuu avant??? On est en ~530 de mémoire dans le trailer... donc bien après AC Origin... presque 500ans après.
Détester le jeu sans même avoir testé alors que tout parait avoir été amélioré rapport a Orgin... mouai ça sent fort le troll par ici.
On aura peut être une explication du pourquoi du comment le soucis . Soit C'est un Assassin's Creed sans assassin -_-
je sais pas lis la news tu verra que c'est avant, pis tu parles à un fan absolu de AC je croule sous les goodies de la belle ère de cette licence. Je deteste Origins et celui là enfonce le clou de ma deception de cette licence.
Alors, OK, il n'y aura pas d'Assassin au sens propre du terme, mais ça permet à la compagnie de proposer une orientation RPG tout en enrichissant l'univers déjà construit. Reste juste à voir si ça sera mieux mis en scène que dans Origins.
Oui oui c'est tiré par les cheveux lol .
Mais comme dit plus haut, l'histoire commençais avant Origin de base. ^^
Les éléments formant le Credo ont été portés depuis la nuit des temps par différents individus, connectés ou non entre eux, avec donc des successions de périodes où des individus / groupes ont agi et marqué l'Histoire (en tuant des figures célèbres tyranniques).
C'est avec Bayek que la Confrérie est réellement née pour lier le tout. Elle s'est ensuite diffusée de par le monde jusqu'au point d'être celle que nous connaissons depuis AC premier du nom et qu'Altaïr a réformé. Le pourquoi Bayek n'était pas connu, ça en revanche il faudra une explication (en vrai, c'est qu'il n'existait pas, dans le lore c'est autre chose).
De même pour l'idéologie des Templiers qui veulent l'ordre et dont diverses organisations ont vu le jour au fil des siècles, la plus récente étant Abstergo.