Assassin's Creed Odyssey : Nous avons pu approcher le nouvel Assassin’s Creed. La Grèce antique réussit-elle à la licence d’Ubisoft ?
Après Origins qui nous faisait découvrir l’Égypte, Assassin’s Creed revient avec Odyssey, un nouvel épisode qui nous permettra de visiter la Grèce antique. Ce nouveau titre, présenté en grande pompe lors de la conférence d’Ubisoft, proposera un scénario se déroulant avant son prédécesseur.
Le but est ainsi de permettre aux joueurs d’avoir un véritable impact sur l’histoire, mais aussi sur le monde du jeu de manière générale.
Nous avons eu l’opportunité de tester le jeu pendant une heure. La session a débuté par une présentation effectuée par l’un des développeurs, qui a mis en avant les objectifs d’Ubisoft Québec pour ce titre : en faire un vrai jeu de rôle, dont la dimension RPG ne se limite pas à une barre de progression. Le but est ainsi de permettre aux joueurs d’avoir un véritable impact sur l’histoire, mais aussi sur le monde du jeu de manière générale. Cela passera, entre autres, par une série de choix qui auront des conséquences sur la suite des évènements.
Autre semi-nouveauté, il y aura deux personnages jouables. Ce n’est pas une première dans la série, Syndicate avait déjà mis un tandem en avant avec Jacob et Evie avec la possibilité de changer à tout moment et, dans une moindre mesure, Origins nous permettait d’incarner Aya dans certaines missions. Mais ici, le choix devra se faire en début de partie et sera définitif.
Parmi les autres nouveautés mises en avant par le producteur, citons pêle-mêle le retour des batailles navales et une place importante accordée à la mer de manière générale, une carte plus grande que celle d’Origins, l’apparition dans le scénario de figures importantes de l’époque telles que Socrates, les batailles de conquête, etc.
Après cette découverte du titre, nous avons pu nous essayer à une démo. Celle-ci prenait place à un stade de progression avancé : notre personnage était de niveau 18 et nous étions sur une île que nous devrions atteindre après 15 à 20 heures de jeu. Nous avons dû choisir entre Alexios et Kassandra, et avons opté pour la guerrière.
Commenter 20 commentaires
Et l’histoire semble être redevenue partie prenante du jeu avec des choix et conséquences, ça devrait moins m’ennuyer qu’Origins.
Hop préco !
Euuuu avant??? On est en ~530 de mémoire dans le trailer... donc bien après AC Origin... presque 500ans après.
Détester le jeu sans même avoir testé alors que tout parait avoir été amélioré rapport a Orgin... mouai ça sent fort le troll par ici.
On aura peut être une explication du pourquoi du comment le soucis . Soit C'est un Assassin's Creed sans assassin -_-
je sais pas lis la news tu verra que c'est avant, pis tu parles à un fan absolu de AC je croule sous les goodies de la belle ère de cette licence. Je deteste Origins et celui là enfonce le clou de ma deception de cette licence.
Alors, OK, il n'y aura pas d'Assassin au sens propre du terme, mais ça permet à la compagnie de proposer une orientation RPG tout en enrichissant l'univers déjà construit. Reste juste à voir si ça sera mieux mis en scène que dans Origins.
Oui oui c'est tiré par les cheveux lol .
Mais comme dit plus haut, l'histoire commençais avant Origin de base. ^^
Les éléments formant le Credo ont été portés depuis la nuit des temps par différents individus, connectés ou non entre eux, avec donc des successions de périodes où des individus / groupes ont agi et marqué l'Histoire (en tuant des figures célèbres tyranniques).
C'est avec Bayek que la Confrérie est réellement née pour lier le tout. Elle s'est ensuite diffusée de par le monde jusqu'au point d'être celle que nous connaissons depuis AC premier du nom et qu'Altaïr a réformé. Le pourquoi Bayek n'était pas connu, ça en revanche il faudra une explication (en vrai, c'est qu'il n'existait pas, dans le lore c'est autre chose).
De même pour l'idéologie des Templiers qui veulent l'ordre et dont diverses organisations ont vu le jour au fil des siècles, la plus récente étant Abstergo.