Dead Space 3 : Isaac Clarke s'invite dans nos consoles pour la troisième fois. Est-il toujours aussi sympathique ?
En outre, si le craft s’avère facultatif (rien n’est obligatoire dans Dead Space 3), il facilite également l’expérience globale. Parfaits exemples du challenge amoindri, les munitions sont logiquement universelles et remplissent l’inventaire à vitesse grand V. Dans le même ordre d’idée, les Medikits sont tellement légion qu’Isaac pourrait ouvrir une pharmacie en un claquement de doigt (en cas de manque, rien ne vous empêche d’en confectionner…).
Pour ne rien arranger, l’argent et les points de force ont disparu. À ce titre, l’évolution de l’équipement et des RIG en pâtit quelque peu (illustration : oubliez le Cutter Plasma ultra puissant), tout en offrant davantage de choix, si l’idée de mettre le nez dans le cambouis ne vous effraie pas. Par ailleurs – et c’est un constat assez étonnant -, Isaac Clarke ne porte plus que deux armes en même temps (en sus d’un robot dont la fonction est d’aller gonfler sa réserve de richesses). Le paradoxe est donc là : donner, donner, donner, pour mieux reprendre à la fin.
Il y a largement de quoi faire...
En ce qui concerne la durée de vie, Dead Space 3 se boucle en une dizaine d’heures, en fonçant en ligne droite, ce qui est honorable à l’heure actuelle. Néanmoins, Visceral Games a joué la carte de la générosité en intégrant maintes et maintes composantes inédites afin de proposer du contenu susceptible de nous faire rester devant la console. De ce point de vue-là, il y a largement de quoi faire…
Entre les quêtes secondaires (certaines en coopératif, uniquement), l’opportunité de profiter de l’aventure à deux (avec un deuxième personnage assez coloré, que l’intelligence artificielle ne contrôle pas en solo, histoire d’éviter toute frustration qui en est liée), les trésors à découvrir (journaux, pièces d’arme, artefacts, …), les quatre difficultés de base et les autres modes à débloquer (New Game +, Classique, Survival Pur et Hardcore), il est difficile de prendre Dead Space 3 en défaut vis-à-vis de sa propension à faire affoler les compteurs. Les adeptes de craft, quant à eux, en auront encore plus pour leur argent.
Commenter 21 commentaires
Lire la news : TEST - Dead Space 3 : action ou vérité ?
Les + : spectacles et séquences qui arrachent = action, on tire partout et nul part.
Les - : - flippant, + simple et des humains à dézinguer = - d'horreur et de stress.
OK, merci, la licence est foutue.
Au revoir.
Argent quand tu nous tiens.
Je reste un poil déçu que le craft n'est pas été assez équilibré, puisque malgré les munitions universelles, rien n'aurait du empêcher les craft ultra puissant de consommer beaucoup pour contre balancer.
Et le test qui dit qu'il ne faut pas cracher sur ce jeu parce que ça reste un excellent jeu d'action et de mise en scène. C'est une blague hein ?
La licence dead space est morte, il y a déjà assez de jeux d'action comme ça on en bouffe par dizaine chaque année.
La licence à voulu élargir le public en reniant le premier opus.
Sans moi.