Dead to Rights: Retribution : Découvrez notre verdict sur ce jeu d'action brutal au potentiel surprenant.
Le gameplay est divisé en deux parties bien distinctes, à savoir le contrôle de Jack, où la vue est celle d'un jeu de tir à la troisième personne de base, et le contrôle de Shadow, qui donne lieu à des séquences de jeu originales. Commençons par décortiquer ce second système de jeu.
Tout d'abord, vous devrez choisir entre devenir agent, officier ou commissaire, ce qui influera sur la difficulté du jeu. Le tout premier chapitre nous propose ensuite un petit didacticiel nous permettant d'expérimenter les capacités offensives du canidé surdimensionné, qui pourra user de ses crocs pour venir à bout de ses adversaires. L'aspect le plus jouissif est probablement qu'après avoir pourchassé vos ennemis, vous pourrez les achever lors de finish-him mémorables. Briser un cou, mordre des parties intimes, éviscérer à l'aide de vos griffes, les pires atrocités seront à votre portée. En effet, si la censure PEGI +18 de certains jeux peu sembler injustifiée, Dead To Rights: Retribution a, quant à lui, bien mérité sa petite icône rouge, tant certaines actions sont sanglantes et sadiques.
Plus tard dans l'histoire, des séquences d'infiltrations dans le rôle du meilleur ami de l'homme vous proposeront d'user de vos talents. Tout en maintenant la touche pour passer en mode discrétion, vous devrez donc vous faufiler derrière votre cible afin de l'abattre en toute furtivité. Certes, cela n'empêchera pas votre victime de lâcher quelques gémissements, mais les ennemis, même ceux situés à quelques mètres de vous, ne verront absolument rien.
Afin de faciliter votre mission, lorsque vous maintenez la touche , les battements de cœur des adversaires deviennent audibles, faisant apparaître leurs silhouettes, même à travers les murs les plus épais. Une bonne manière d'étudier les mouvements des futurs cadavres, et ainsi élaborer votre propre plan d'attaque. Si un groupe d'adversaires semble quadriller une zone du regard de telle façon que vous ne pouvez pas avancer, vous pourrez toujours les attirer vers vous. En grognant ou en aboyant, vous attirerez les ennemis proches ou lointains dans votre piège.
Finalement, une phase de jeu obligatoire viendra parfaire la possibilité originale de contrôler Shadow. À un moment du jeu, vous devrez faire griller des générateurs dont les fils sont à l'air libre. Si un être humain se serait contenté de couper les fils à l'aide d'une pince ou de sa force physique, votre compagnon préférera lever la patte pour se soulager par la même occasion. Un tendre moment qui rendra cette mission unique en son genre.
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Je ne jugerais pas sur la partie des trophées qui ne m'intéressent pas, pour le reste c'est tout à fait ça :
graphismes corrects mais parfois très très bofs (la modélisation de Jack m'a même rappelé les premiers tomb raider...), jeu sympatique mais un peu redondant (infiltration avec Shadow suivie de castagne avec Jack, infiltration avec Shadow suivie de castagne avec Jack et on recommence cela 10 fois), gameplay plutôt sympa tant avec Jack (corps à corps et armes à feu) qu'avec Shadow (attaques furtives, courses, esquive), histoire comme souvent pas inoubliable mais cela importe peu (ce n'est pas un jeu à scénario), durée de vie vraiment très courte (c'est le gros moins de ce jeu, vu la durée de vie, à acheter d'occas je pense).