Darksiders II : Lentement, la Mort chevauche Despair vers des tourments qu'elle ne soupçonnait pas. Dans quel but ?
Il n’y a pas de Guerre sans Mort… Darksiders premier du nom nous contait l’histoire de War, l’un des Cavaliers de l’Apocalypse alors accusé d’avoir précipité la destruction de la Terre et, surtout, de ses autochtones. Plongé dans un complot qui le dépasse, le plus loyal des Quatre se retrouve seul… Ou presque. En effet, Death, son frère d’armes et de cœur, va tout faire pour laver son honneur et rétablir l’Équilibre rompu. En quête de réponses et accompagné par son corbeau au cri perçant, le Faucheur doit retrouver l’Arbre de Vie pour redonner un souffle à l’Humanité. Une tâche loin d’être aisée, surtout en ne sachant pas par où commencer.
Une continuité logique au sein de la riche Mythologie Darksiders.
Les événements de Darksiders II se déroulent plus ou moins en même temps que ceux de son prédécesseur. Nous y suivons le très puissant Death, lequel se sent obligé de sauver War d’une condamnation certaine, pour une chose qu’il n’a pas commise. En redorant le blason de son frère, il répondra quelque peu de ses actes passés, qui le suivent comme une ombre malveillante. C’est en effet par lui que le génocide des Nephilims – sa famille - a été conduit et il vit ainsi avec des âmes tourmentées à ses côtés, un masque pour cacher sa souffrance.
Au sein de son dessein personnel, Death se fait aider par des personnages, parfois bienveillants, souvent malveillants. C’est une excellente occasion d’aller plus loin dans l’univers de Darksiders, en découvrant des mondes absous par la Corruption, petits par l’espoir qui y habite et immenses par la taille. En acceptant de venir en aide à War, Death découvrira des vérités pas forcément très bonnes à entendre et notamment sur l'origine des Ténèbres s’abattant sur les territoires traversés.
Concrètement, le pitch de Darksiders II n’est pas aussi épique et profond que celui par qui tout a commencé. Il y a une raison à cela : une fuite vers l’avant - celle de War en l’occurrence - est toujours scénaristiquement plus intéressante qu’une simple vendetta. Pour autant, l’histoire apparaît assez cohérente eu égard à ce qu’il se passe dans l’opus original et affiche une continuité logique au sein de la riche Mythologie Darksiders (certains protagonistes rencontrés auparavant sont là). Sur ce point là, il n’y a pas de Mort qui tienne…
Commenter 19 commentaires
Lire la news : TEST - Darksiders II : nous avons rendez-vous avec la Mort
Remarquez aussi que la voix française de Death est celle du doubleur de Colin Farell
Comment peut on oser dire cela sans passer pour un fanboy sans discernement ?
Perso, je préfère dire que c'est la voix de Jason Staham (Boris Rehlinger)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Boris_Rehlinger