Un vrai FPS sur PSVita ?
Sinon, histoire de mener à bien vos missions (ici, il fallait escorter un jeune garçon vers un endroit sûr), vous disposez de trois armes : une primaire et une secondaire pour le classique et une tactique pour l’exotique. C’est cette dernière qui retient l’attention, puisqu’elle régira votre manière d’appréhender les situations (ce qui casse la routine et augmente la variété). Vous voulez la jouer furtif ? Il suffira de prendre le camouflage optique. Vous êtes plutôt bourrins ? Choisissez alors le canon épaule façon War Machine, pour exploser les Helghasts en tapotant l’écran. Il y en a toute une ribambelle, en sachant que vous ne pourrez en porter qu’une seule à la fois et que son utilisation est limitée (elle doit se recharger, en tuant ou en payant).
Côté spécificités propres à la PSVita, Guerrilla a préféré ne pas imposer le tactile aux joueurs. Comprenez par-là que la plupart des commandes quémandant à votre petit doigt d’effleurer la PSVita ne sont pas obligatoires et peuvent être accessibles via les touches physiques. Bien entendu, l’ergonomie est souvent meilleure grâce aux raccourcis tirant profit des capacités du hardware, mais les réfractaires auront la possibilité de s’en passer dans la grande majorité des cas (les QTE aux corps-à-corps se font uniquement au tactile).
Pour conclure, il semblerait que Killzone Mercenary tienne toutes ses promesses et que Guerrilla soit parvenu à transposer brillamment la saga sur PSVita (feeling un chouia plus lourd et lent à signaler). Le hic dans tout ça ? Ceux qui détestaient les aventures aux couleurs Helghasts ne devraient pas changer leur fusil d’épaule (sans mauvais jeu de mots). Quant aux autres, ils seront ravis d’occire du méchant n’importe où, n’importe quand. Il ne reste plus qu’à espérer un contenu à la hauteur de l’expérience fournie. Il faudra patienter jusque septembre pour le savoir.
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