2013, l'Odyssée de l'espace.
Dans l'espace, ceux qui vous entendent crier ne vous comprennent pas pour autant. Les formes de vie rencontrées (n'espérez pas trouver d'humanoïdes) parlent toutes la même langue primitive, mais pas la vôtre. À l'instar de John Dunbar de Danse avec les Loups apprenant le lakota (dialecte sioux, ndlr), le héros d'Out There se doit de maîtriser la langue de ceux avec qui il marchande et ainsi faire les offrandes adéquates. Cela lui permettra de repartir avec des ressources supplémentaires ou des technologies qui l'aideront dans son périple, voire un nouveau vaisseau (chacun ayant des caractéristiques différentes en terme de place et de consommation).
Le maître-mot d'Out There est l'aléatoire. Le même joueur peut se lancer plusieurs fois dans l'aventure sans jamais se retrouver face aux mêmes situations. Les galaxies, les systèmes solaires et les planètes sont différents, plus de 300 événements viendront ponctuer les changements de systèmes solaires, au plus grand malheur ou bonheur du héros et demanderont même parfois de choisir entre deux options. Découverte de ressources, panne technique, rencontre fortuite... de quoi modifier sensiblement votre voyage. Par ailleurs, différentes fins sont également présentes, ajoutant en rejouabilité.
Bien sûr, Out There ne comporte aucun combat et les adeptes de l'action peuvent d'ores et déjà dévier leur route. Le titre s'offre néanmoins un univers unique et une mélancolie presque malsaine dans son écriture, retraçant les pensées d'un homme désespéré qui perd peu à peu pied.
Out There sera proposé dès cet automne au format premium (payant) sur iOS, Android, Windows et Mac. Nous tenterons à ce moment de vous livrer un test complet de ce jeu qui a su attirer notre attention dans les allées de la Gamescom.
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