TEST - Zone of the Enders: HD Collection - Leo et Dingo sont de retour

Le gameplay de Zone of the Enders est plutôt simple à prendre en main et intuitif. Après un didacticiel de quelques minutes qui vous apprendra à connaître les différents mécanismes du jeu, vous pourrez enfin vous plonger tête la première dans le titre.

Il n'y a pas grand-chose à savoir sur le contrôle du Jehuty mis à part les actions basiques : monter, descendre, frapper, esquiver, bloquer et attraper. Mais lorsque vous êtes dans le feu de l'action et notamment contre des bosses, vous remercierez cette simplicité.

Les missions sont malheureusement peu variées, de même pour les environnements du jeu. Les ennemis peu diversifiés et les combats un peu trop répétitifs pourront en dérouter plus d'un, tout comme les gros ralentissements dus à la baisse de frame rate qui rendent  l'action beaucoup moins folichonne. Le jeu se résume à nettoyer une zone en tuant tous les ennemis s'y trouvant, ou parfois sécuriser une ville en prenant soin de détruire le minimum d'immeubles sous peine de tuer les survivants qui attendent d'être sauvés. Seules les joutes contre les bosses, assez ardues, nous provoquent un sentiment de joie qui peut se transformer rapidement en rage lorsque l'écran du game over approche.

C'est seulement dans Zone of the Enders: The 2nd Runner que le gameplay prend tout son sens. De nouvelles perspectives de combats s'offrent à vous grâce à de nouvelles options de gameplay. Vous pourrez désormais attraper des éléments du décor et les utiliser pour frapper ou vous protéger. Il est également possible de locker plusieurs ennemis en même temps, ainsi vous pourrez envisager les affrontements selon plusieurs angles différents.

Les missions de ce second opus sont bien plus variées que dans son prédécesseur, tout comme les décors dans lesquels vous évoluerez, tantôt dans la neige, tantôt dans l'espace. L'histoire s'enchaîne sans temps mort et nous suivons agréablement les évènements liés à Dingo.

Globalement, le gameplay des deux épisodes s'avère génial sous de nombreux aspects, mais ne prend seulement son envol que dans le second opus, tout comme la variété des missions, ennemis et décors.