Suivez la voie du Bushidô avec XBOXGen dans notre test de Way Of The Samurai 3.
* Des goûts et des couleurs...
Way Of The Samurai 3 prend un coup de vieux. Et cela se voit par ses graphismes HD première génération, l’un des points noirs du jeu. Nous pourrions nous dire que ce troisième opus est loin d’être une production new-gen… et pourtant.
Dès les premières secondes, nous sommes plongés dans un Japon médiéval avec une introduction aguicheuse. Le jeu commence et ce n’est pas à quoi nous nous attendions. Certes, Way Of The Samurai 3 est sympathique visuellement mais nous sommes loin de ce que pourrait donner un titre nouvelle génération. C’est plat, très lisse, avec quelques bugs… en fait, nous avons plus l’impression de jouer à un jeu PlayStation 2 en haute définition sur Xbox 360. Cependant, il y a une réelle évolution par rapport à ses prédécesseurs. En effet, nous bénéficions cette fois-ci d’un cycle jour/nuit. Le temps passe, les jours défilent et les environnements changent. En pleine journée, le soleil illumine les lieux dans toute sa splendeur. Arrivé à la tombée de la nuit, une sorte de fine brume apparaît à l’écran. Cela pourrait être gênant au premier abord, mais en y pensant, cela fait ressortir le milieu humide qu’est le Japon. Les décors sont variés entre temples, villages et autres châteaux de seigneurs. Seul bémol, c’est que les lieux sont restreints. Vous ferez rapidement le tour des différents cadres. Ayant la possibilité d’entrer dans différentes résidences, vous remarquerez que la plus part des pièces manquent cruellement de meubles. C’est généralement tout vide, c’est un simple détail qui manque cruellement de réalisme.
Alors pourquoi des graphismes de cette qualité ? Pour la simple raison que le jeu date de 2008. Eh oui, alors que cet épisode vient tout juste de voir le jour dans nos contrées, Way Of The Samurai 3 date maintenant de plus d'un an chez nos amis nippons. C’est pourquoi, nous pouvons lui pardonner ces petits défauts visuels.
Commenter 3 commentaires
Enfin un jeux auquel j'ai eu énormément de mal a décroché, certes la map n'équivaut pas a celle de just cause, mais beaucoup de chose arrive, des événements différents. Il pourra dérouter certains joueurs du fait que l'ont est réellement libre, j'entends par la que nous ne somme pas tenus par la main et que c'est a nous de forger notre nindo.
Le test fait l'impasse sur plusieurs aspect assez importants, tout d'abord il faut savoir qu'en plus des niveaux de difficultés habituels nous avons accès a un mode nommé mort instantané, c'est a dire ou l'on meurt, nous comme nos adversaire, en un seul coup de katana. C'est la ou le jeux prend tout son intérêt car il devient bien plus immersif et les combats plus épics et réalistes. De plus la difficulté est présente dans les combats contre beaucoup d'adversaire ce qui une fois de plus change de la politic grand public/noob de la génération actuelle. Niveau gameplay si on prend la peine de s'intéresser un minimum au style (un ou deux katana, style laido ou ninja etc) de notre perso, son type de sabre, et surtout ses techniques ( qui varient d'un sabre a l'autre ) et que l'on apprend a les maniers le gameplay est profond et bien pensé. De plus a chaque mort un score samourai nous est attribué, ce score permet de débloqué des déguisement futuristes ou de cette époque pour habiller notre personnage, en plus de tout les costumes et visages débloquables.
Pour finir, WOTS et son système de vie doivent être vues comme une sorte de réincarnation au sens philosophique. Bref WOTS vise une catégorie bien précise de joueurs et parvient a la conquérir avec brio, et oui les graphismes ne font pas tout dans un jeu, et les dev de WOTS 3 'l'ont bien compris eux.
En sachant qu'apres 30 minutes de jeux on ne fait plus attention aux graphisme tant l'univers est cohérent.
En définitive, WOTS3 est un de ces jeux que les gamers d'avant cette génération grand publique et casual sauront qualifié de perle, c'est a dire un jeux crée certe dans le but d'être rentable mais par des passionnés pour des passionnés, du moins c'est ce que l'on ressent en jouant. Dommage qu'il y en ai si peux et si tardivement localisés chez nous.
Le jeux date de 2008 d'ailleurs, et même si on avait mieux en 2008 comme je l'ai dit plus haut on fait vite abstraction des graphismes une fois dans le jeux.