Pokémon GO : Nous nous sommes pris à l'aventure du jeu mobile devenu phénomène. Cette hype est-elle justifiée ? Retrouvez nos impressions dans ce test.
À moins de vivre reclus de la société sans le moindre accès Internet, vous avez très certainement entendu parler du jeu Pokémon GO, développé par Niantic Labs (ancienne start-up de Google) en collaboration avec la Pokémon Company. Sorti en juillet, le titre a connu un succès immédiat. Et pour cause, propulsé sur le devant de la scène, il a su réunir plus d'utilisateurs au quotidien que certaines applications qui ont mis des années à faire leur nid, telles Snapchat, Facebook, Twitter ou encore Whatsapp. Dans les statistiques, le jeu réunirait globalement 10 % des utilisateurs de terminaux connectés. Une belle prouesse.
De notre côté, toujours à l'affût des nouveautés, nous n'allions pas rater la troisième application mobile de Big N (après Pokémon Shuffle et Miitomo). Nous avons donc rejoint l'aventure le 6 juillet sans même attendre le déploiement officiel du jeu dans nos contrées, qui n'est d'ailleurs toujours pas sorti officiellement dans notre pays à l'heure où nous tapons ces lignes... qu'à cela ne tienne, il suffit de récupérer le pack d'installation pour en profiter.
Pour rappel, Pokémon GO a été teasé le 9 septembre 2015, avec une bande-annonce visionnée par plus de 30 millions de personnes. Et en réalité, la première mise en bouche remonte au 31 mars 2014, date où la firme de Mountain View a officiellement lancé le Pokémon Challenge sur Maps comme « poisson d'avril ». Pourtant, le défi a été relevé mondialement par des millions de fans.
Depuis, la hype autour du jeu n'a cessé d'augmenter, et sa sortie n'a fait qu'amplifier ce phénomène sur lequel nous reviendrons plus tard dans ce test.
Après installation, le futur dresseur est invité à saisir sa date de naissance puis son mode de connexion (au choix, compte Google ou Club des dresseurs). Une fois inscrit avec succès, un nouveau personnage s'invite à l'écran. Comme une version plus jeune et aventurière du célèbre Professeur Chen. Celui-ci décline son identité : voici le Professeur Saule. D'après son apparence, il ressemble davantage à un aventurier qu'à un savant, mais tient à peu près le même langage que son prédécesseur.
Puis vient le tour de la personnalisation du profil, à savoir « Es-tu un garçon ou une fille ? », avec quelques choix purement esthétiques comme la couleur des cheveux, de peau, quel type de tenue/sac votre avatar portera. Une fois votre réplique virtuelle créée, vous voici fraîchement devenu un dresseur de niveau 1.
Les hautes herbes étant dangereuses, et dans le respect de la tradition, il vous faudra d'abord sélectionner un starter pour commencer votre périple en touchant du doigt le petit monstre sur lequel vous avez jeté votre dévolu (Salamèche, Carapuce, Bulbizarre ou Pikachu). Le combat se lance, dans un décor virtuel ou – accessoirement – en réalité augmentée. Un swipe vers le haut, PokéBall lancée... et nous retrouvons le stress habituel lors d'une phase de capture : va-t-il se débattre ou gentiment se laisser capturer ?
Commenter 35 commentaires
Par contre à certains moments il chauffe quand il faut s'aligner au gps/réseau.
Les bugs de capture sont vraiment insupportable : roucarnage CP 685, capturé en 2 superball et freeze... et quand on quitte le Wi-Fi pour de la 4g, le jeu fonctionne jusqu'à la capture du pokemon et freezer de nouveau. Conseil si vous quittez là zone WiFi, relancez l'application cela évitera des désagréments.
Bonne chasse les amis.
Tellement, je suis obligé de faire 10 km en voiture pour enfin croiser des roucool est autre pokémon de farme Xp, mon plus beau pokémon ? un aquali à 800 Pc tout juste évoluer en 8 jours -_- et pourtant je joue tous les jours mais bons, faire des 5,6, 7,8 Km par jour pou choper 5 pokémon nazes et profiter uniquement d'oeuf, si sa change pas beaucoup arrêtera le jeu.
Une logique à faire sortir les gens de chez eux pour aller au parc à 200m ?
Soirée un peu 'farming' entre 2 PokéStops leurrés/boosté, j'ai dû passer manuellement sur l'antenne Free 4G. Au total j'ai bien relancé le jeu une centaine de fois...
Moi j'y ai joué 10 minutes et j'en ai eu marre
C'était juste pour voir le fonctionnement car le jeu ne m'attirait pas.
Moi non plus à force de lire les postes de ceux qui y joues ,y a vraiment trop de bugs et de problèmes de toutes sortes... en veux-tu en voilà et je parle pas des défauts.
Après quelques jours (ou plutôt quelques minutes par jours pendant trois jours) et une bonne quinzaine de pokemons choppée (dont des doublons) j'ai laché l'affaire.
Quitte à jouer à pokemon, autant prendre un vrai jeu pokemon (les type RPG sur console portable ou émulateur) car avec l'app Pokemon Go j'ai l'impression que c'est l'app qui joue avec toi et que tu en finis presque esclave voire abruti (tu subis plus que tu agis). J'ai eu vraiment du mal à être dehors mais paradoxalement penché sur mon phone aussi régulièrement plutôt que de regarder devant moi.
Après c'est une critique certes, mais appliquée à mon cas personnel. C'est comme ça que je l'ai ressenti. Je peux comprendre que selon les goûts de chacun ce jeu puisse être addictif, surtout pour l'aspect recherche et collection.