Crysis 2 : Crytek et le CryEngine 3 font leur premiers pas sur consoles. Alors, pari réussi ?
Côté gameplay, la prise en mains ne pose pas de problèmes puisqu'elle s'appuie sur les mêmes boutons et combinaisons que la masse de FPS sortis, ce qui rend le temps d'adaptation quasi immédiat. Cependant, Crysis 2 se démarque de ses concurrents en optant pour un mélange entre passages linéaires et scriptés, comme dans les autres jeux du genre, et passages dans de vastes zones ouvertes. Cette combinaison est assez intéressante, surtout dans le deuxième cas, car elle permet d'avoir une sensation de liberté grâce aux différentes manières d'aborder la situation et d'atteindre l'objectif, même si au final le dénouement sera le même quelle que soit la solution choisie.
L'autre atout du jeu de Crytek, et d'Alcatraz par la même occasion, c'est la nanocombinaison, sorte de combinaison utilisant la nanotechnologie afin d'accroître les capacités du personnage principal. Ainsi, notre héros peut passer en mode armure afin de réduire les dégâts causés par les ennemis et les grandes chutes, ou en mode camouflage afin de devenir invisible. La nanosuit permet également de faire des sauts gigantesques et de déployer une force surhumaine, afin de faire valser des voitures d'un seul coup de pied par exemple. De plus, le système est évolutif grâce à l'achat de nouvelles capacités. Pour cela, il suffit de ramasser les nano-catalyseurs sur les corps morts des Cephs et de les dépenser pour pouvoir voir les trajectoires des balles ou les traces de pas ennemis par exemple. Mais toutes les actions liées à la nanocombinaison drainent de l'énergie, de même que le fait de courir, et il faut donc faire attention à la barre située en bas à droite avant qu'elle ne tombe à 0 et devoir attendre qu'elle se recharge. Cette gestion de l'énergie donne une certaine part tactique lors des phases d'infiltration en invisible ou de passages en force grâce au mode armure. Toujours au niveau de la customisation, nous avons la possibilité de personnaliser nos armes à tout moment en les affublant de divers viseurs, silencieux, chargeurs lance-grenades etc., qui sont autant de choix possibles aidant à mieux s'adapter à la situation présente ou choisie.
Comme la plupart des titres du même genre, Crysis 2 propose également des phases de conduite de véhicules, ou de rail-shooting, mais elles sont tellement rares et peu intéressantes que nous avons vite fait de les oublier.
Commenter 18 commentaires
Lire la news : TEST - Crysis 2 : premiers pas réussis pour Crytek sur consoles ?
Je dirai un multi pourri sur console (déjà au niveau map), et surtout parce-que le lag est à l'avantage de son utilisateur .
Je me demande à quand un réseau comme sur PC (ou certains jeux PS3) et voir celui qui lag obtenir saccade et autre truc sur son écran qui lui rende le jeu injouable
je l'ai déjà fait deux fois (en normal et en vétéran) et je vais me le refaire une 3 eme fois avec plaisir en super soldat avant d'attaquer le multijoueur.
Je suis assez d'accord avec le test concernant la narration, elle manque de pêche c'est dommage ça gâche un peu.
A part ça, technique, gameplay au top pour moi, j'en redemande
Les graphismes sont pas si beau que cela finalement comparé au PC ET 18/20 est une trop bonne note selon moi.
Graphisme : 15/20
Bande son : 13/20
Jouabilité : 14/20
Durée de vie : 15/20
Scénario : 12/20
En moyenne, ce jeu vaut pas plus d'un 14/20 je pense. Il est bien mais il manque des éléments qu'un COD peut avoir et qui peut créer un certain succès.
Le gars qu'on incarne est une vrai boite de conserve , il ne parle pas jamais a part a la fin pour dire " on m'appelle .... " , bref le scénario est nul , les maps sont nuls , Crytek s'enflamme pour rien , une IA de merde aussi ...
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Avec ça ils viendront moins fanfaronner pour leur Crysis 3