Need for Speed Payback : Fortune Valley n'a plus aucun secret pour nous. Un titre déjanté en vue ? La réponse sans plus attendre.
Nous découvrons Fortune Valley, une ville contrôlée par des mafieux, le Clan. Les casinos, les petits gangs de rue, et même la police sont sous le contrôle de ce cartel. Une histoire de trahison... Une histoire de vengeance... Une histoire de wesh-wesh pas contents... Nous pensions réellement mettre la main sur un titre différent de ce que nous avions vu jusqu'à présent, à savoir une production tournée vers de la folie à la sauce hollywoodienne, c'est râpé.
Les joueurs expérimentés termineront la trame principale de Need for Speed Payback en une quinzaine d'heures.
En effet, l'univers n'a pas changé, les courses illégales sont toujours d'actualité, nous nous devons (comme toujours) de gagner le respect de certains groupes pour monter en échelon et ridiculiser les vilains pas beaux. Quelques moments sont épiques, mais ne suffisent pas à nous transporter dans un nouveau monde. Bref, les joueurs expérimentés termineront la trame principale de Need for Speed Payback en une quinzaine d'heures, les autres prendront un peu plus de temps.
La raison ? Dans les derniers chapitres, le jeu nous fait comprendre que nos bolides ne sont pas assez puissants pour achever une course ou une épreuve. De ce fait, le joueur est obligé de se rendre dans divers défis, ou de recommencer des missions, pour amasser de l'argent et des Speedcartes, afin de se procurer/modifier un véhicule.
Vous l'aurez compris, des challenges et de petites quêtes (comme défoncer des panneaux publicitaires, trouver des jetons, drifter à tout-va dans les rues, etc.) sont éparpillés par-ci, par-là. De quoi gonfler notre compteur et nous amuser un peu plus en dehors des missions importantes, sans inclure les parties sur la Toile. Les courses sont nombreuses et variées, il y a de quoi se faire plaisir.
Commenter 11 commentaires
Puis bon, E.A. qui prétend prendre un changement de direction pour ses productions, cela me semble plutôt être un 360° non controlé...
Payback ou pas, ça sera sans mon porte-monnaie.
Ps: Une relecture de l'article s'impose, beaucoup de fautes...
Sinon ce NFS ne sera pas pour moi, je me suis arrêté à Hot Pursuit et ses temps de chargements infinis...
Et vu le concept de lootbox encore, je fuis ça comme la peste !
Konami, EA, c'est qui le prochain qui va ce ramener pour faire du jv poubelle et salir de vrais artistes avec des principes, des valeurs et un amour dans leur passion.
R* et take two
Carbon pour ma part. Mais le NFS 2015 je l'ai trouvé exceptionnel. Et j'ai beaucoup accroché à The Run très honnêtement. On avait un NFS "classique" qui m'a fais retrouver des sensations des touts premier.
Le reste c'était vraiment mauvais. Undercover qui essayait de revenir à du MW, bonne idée, mais trop de bug et le scénario digne d'un nanard. MW2012, un burnout deguisé.. bref .. Et celui ci j'en attendais tellement, suite du 2015, mais au final je pense que c'est encore un coup d'épée dans l'eau, esperons que les serveurs du 2015 ne seront pas fermé trop vite
C'est déjà quatre de trop
Et Jaiden : Perso c'est Undercover que j'avais apprécié ( insouciante jeunesse )
MW2012 était par la même maison que Burnout ( Criterion Games ) d'ou la ressemblance, mais loin d'être aussi joussif que Paradise !
Il faudrait que les joueurs s'engagent et condamnent ça en blacklistant ce genre d'éditeurs et de comportements nauséabonds.
Qui ont été corrigées dès que nous en avons été informé par Vanou, soit quelques minutes après son post ici, que je remercie. Nous détestons les fautes autant que toi, à priori, mais parfois la nécessité d'aller vite et surtout la fatigue de notre correcteur qui fait cela en plus de son job laisse quelques erreurs. Nous corrigeons donc aussi post publication.