The Legend of Zelda: A Link Between Worlds : La légende reprend là où elle s'était arrêtée.
Si les graphismes, la bande-son et la trame narrative sont volontairement très proches de l'épisode Super NES, le gameplay, lui, se veut révolutionnaire pour la série. De nombreux points viennent bouleverser les codes habituels, à commencer par l'introduction d'une nouvelle dimension avec la capacité que Link se découvre rapidement, celle de se transformer en peinture et se déplacer ainsi à l'horizontale sur les murs.
A Link Between Worlds cherche donc à revenir aux bases [...] tout en dépaysant de par ses mécanismes.
Revenant à des déplacements très classiques après deux épisodes DS qui révolutionnaient le genre grâce au stylet et au microphone par exemple, A Link Between Worlds cherche donc à revenir aux bases pour ne pas demander de gymnastique désagréable au joueur, tout en le dépaysant de par ses mécanismes. Plus qu'une simple fioriture, la transformation en peinture est régulièrement nécessaire et change totalement la donne, tant dans les combats où cela permet d'esquiver les attaques, que pour les énigmes. De ce point de vue-là, la difficulté de la partie action a été réduite pour mettre l'accent sur la partie réflexion, qui donne du fil à retordre aux aficionados du genre. Pas de panique pour autant, les joueurs bloqués pourront toujours glisser une pièce aux fantasus pour connaître la solution d'un problème. En plus de jouer avec la perspective, Nintendo joue également avec les ombres et la lumière sur certains passages, une nouvelle raison de s'arracher les cheveux.
Autre nouveauté de taille qui devrait bouleverser les habitués : les items peuvent désormais (presque) tous être loués ou achetés dès le début du jeu auprès de Lavio, un vendeur ambulant. Terminé l'objet trouvé dans un donjon à utiliser à chaque recoin jusqu'au boss pour ensuite rester au fond de l'inventaire pour prendre la poussière. Désormais, même si un accessoire en particulier est toujours à l'honneur, les autres ne sont pas oubliés pour autant et il est parfois nécessaire de changer ses raccourcis à plusieurs reprises au cours d'un donjon pour arriver à la fin. Par ailleurs, de nouvelles pièces d'équipement font leur apparition, apportant un vent de fraîcheur appréciable à l'inventaire de Link et dans le gameplay.
Commenter 8 commentaires
J'ai juste lus la conclusion, toute façon rien ne m'aurais empêcher de l'acheter.
ça commence à me gaver énormément.
Tout a fait d'accord dernier zelda en date SS sur Wii finie en 4 jours !
En tout cas celui la il m'a l'air pas mal du tout surtout pour le prix qu'ils est sur internet.
Par contre, oui, les jeux Nintendo sont de plus en plus simple, et ça me gonfle. Même si les jeux Zelda n'ont jamais été très difficiles pour les habitués, si maintenant on se tape plus des game over sur les boss, ça va être triste
L'important c'est que l'aventure en vaille le coup et que le soft continue à faire rêver. Et à ce niveau je crois que Nintendo s'est jamais vraiment foiré jusqu'à preuve du contraire ? Bon c'est sûr faut pas compter ceux sortis sur Phillips CDI haha... En tous cas j'ai jamais vu quelqu'un être vraiment déçu par un Zelda.
Ce Zelda si ne m'intéresse pas des masses franchement, je connais par cœur le monde de A Link To the Past et je sais qu'il est très petit. Graphiquement il ne me surprends absolument pas et je trouve pas ça spécialement plus beau que l'original.
De plus d'après les tests déjà disponibles mes craintes se sont confirmées sur la petitesse du monde et sur la longueur du jeu. Bref pour un Zelda 3DS j'en attendais beaucoup mieux, aussi bon puisse t'il être. Si au moins la vue était à la 3e personne ça aurait donné de la profondeur et un véritable intérêts à reparcourir un monde connu et archi connu.