The Legend of Zelda: A Link Between Worlds : La légende reprend là où elle s'était arrêtée.
Le pitch de la saga est somme toute assez répétitif et A Link Between Worlds ne vient pas faire exception à la règle. Un abominable monstre vient enlever la princesse du royaume d'Hyrule et un jeune garçon se découvre des talents de héros et vient la délivrer, sauvant par la même occasion le monde d'une apocalypse certaine. Link, le héros de la légende, reprend donc une nouvelle fois du service et va aller de péripéties en péripéties et risquer sa vie pour la belle Zelda.
A Link Between Worlds reprend dans les grandes lignes la trame narrative de l'opus de 1992.
A Link Between Worlds se déroule plusieurs centaines d'années après A Link to the Past et tout le royaume chante encore la légende du héros qui vainquit l'effroyable homoursporc Ganon. Mais l'histoire se répète inlassablement et le démon a cédé sa place à Yuga, un très puissant mage qui s'en prend aux nouveaux descendants des sept sages en les transformant en tableaux avant de les emmener à Lorule, un royaume parallèle consumé par le mal. Link, jeune apprenti forgeron qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment, se retrouve face à face avec le méchant, qui n'aura aucun mal à s'échapper... Et c'est ainsi qu'une nouvelle légende débute.
À mi-chemin entre la copie conforme et le clin d'œil appuyé, A Link Between Worlds reprend dans les grandes lignes la trame narrative de l'opus de 1992. Le joueur se retrouve par hasard confronté à un effroyable monstre et se lance ainsi dans une épopée qui l'amènera à réunir les trois pendentifs qui lui seront nécessaires à obtenir Excalibur, l'épée de légende. En outre, il doit sauver sept personnages secondaires dans un univers alternatif. Malgré ses airs de déjà-vu, l'ensemble est toujours aussi féérique et l'ajout de certains personnages, tel qu'Hylda, la princesse qui règne sur Lorule, et certains rebondissements - notamment sur la fin - en font une expérience globalement unique.
L'histoire n'est pas la seule à avoir pris pour base les précédents opus. Les graphismes sont une version améliorée de ceux de A Link to the Past et les musiques sont également remixées. Mais attention, nous ne parlons pas là d'une simple adaptation lissée pour la 3DS, non, tout a été entièrement revu, refait et soigné afin de proposer des décors colorés, magnifiques et animés. Mais aussi de nombreux jeux de perspectives qui prennent tout leur sens lorsque la 3D est activée. Au final, A Link Between Worlds est un véritable régal, tant pour les yeux que pour les oreilles, et les ressemblances viendront tirer une larme nostalgique au coin de l'œil des joueurs de la première heure, sans pour autant donner l'impression de recommencer une nouvelle fois le même jeu.
Commenter 8 commentaires
J'ai juste lus la conclusion, toute façon rien ne m'aurais empêcher de l'acheter.
ça commence à me gaver énormément.
Tout a fait d'accord dernier zelda en date SS sur Wii finie en 4 jours !
En tout cas celui la il m'a l'air pas mal du tout surtout pour le prix qu'ils est sur internet.
Par contre, oui, les jeux Nintendo sont de plus en plus simple, et ça me gonfle. Même si les jeux Zelda n'ont jamais été très difficiles pour les habitués, si maintenant on se tape plus des game over sur les boss, ça va être triste
L'important c'est que l'aventure en vaille le coup et que le soft continue à faire rêver. Et à ce niveau je crois que Nintendo s'est jamais vraiment foiré jusqu'à preuve du contraire ? Bon c'est sûr faut pas compter ceux sortis sur Phillips CDI haha... En tous cas j'ai jamais vu quelqu'un être vraiment déçu par un Zelda.
Ce Zelda si ne m'intéresse pas des masses franchement, je connais par cœur le monde de A Link To the Past et je sais qu'il est très petit. Graphiquement il ne me surprends absolument pas et je trouve pas ça spécialement plus beau que l'original.
De plus d'après les tests déjà disponibles mes craintes se sont confirmées sur la petitesse du monde et sur la longueur du jeu. Bref pour un Zelda 3DS j'en attendais beaucoup mieux, aussi bon puisse t'il être. Si au moins la vue était à la 3e personne ça aurait donné de la profondeur et un véritable intérêts à reparcourir un monde connu et archi connu.