Hitman: Absolution : Après six ans d’attente insoutenable, Hitman: Absolution est-il le Hitman que les fans attendaient ?
Le premier niveau, servant de tutoriel, nous permet d’aborder les innovations et de redécouvrir ce gameplay que les fans apprécient tant. Sont présentés : l’Instinct, les cachettes polyvalentes et les points de contrôle activables. En plus de toutes ces nouveautés, nous retrouvons aussi d’anciennes features : la corde de piano, les Silverballers à silencieux et la possibilité de distraire l’ennemi. Le jeu est encore une fois clairement pensé pour plaire à tout le monde, habitués comme néophytes.
Le moteur Glacier 2 parvient à flatter la rétine.
Hitman: Absolution étant un jeu d’infiltration, le plus important est d’arriver à duper tout le monde. Pour cela, trois solutions s’offrent à nous. La première, très classique, consiste à avancer à l’abri des regards, sans faire de bruit, sans attirer l’attention. La seconde est de voler le déguisement de l’un des ennemis sur place, afin d’avancer parmi eux sans se faire repérer. La troisième, quant à elle, requiert de se fondre dans la masse, d'être entouré de la populace afin de ne pas attirer le regard. Si les aficionados connaissent bien les deux premières méthodes, la dernière, en revanche, est relativement inédite. Déjà expérimentée dans Hitman: Blood Money, la foule est ici bien plus utile et, par extension, utilisée.
Graphiquement, le moteur Glacier 2 parvient à flatter la rétine, tout en s’épargnant des ralentissements (à ce titre, l'accumulation de personnages n'a aucune incidence sur la fluidité) et des temps de chargement trop longs. Les effets d’ombres et de lumières sont particulièrement bien reproduits. Jusqu'à aujourd'hui, parcourir un quai de gare à l’heure de pointe ne se sera jamais révélé aussi plaisant. Car oui, Glacier 2 permet de se balader dans des environnements bondés, sans sacrifice de framerate aucun. En outre, les étapes du périple de 47 brillent par leur ambiance sonore, agréable et crédible. Les musiques collent parfaitement à chaque situation, et ce, malgré le départ de Jesper Kyd, compositeur fétiche d’IO Interactive. Les doublages français sont de bonne qualité, même s’il est dommage d’avoir perdu les voix officielles de 47 et de Diana Burnwood.
Commenter 7 commentaires
Lire la news : TEST - Hitman: Absolution - 47 s'infiltre sur nos consoles
Le mode en ligne, je ne l'ai pas essayé, mais j'ai eu vent du principe et je n'en ai entendu que du bien. un vrai Little big planet de l'assassinat, il me tarde de l'essayer.
Je regrete juste qu'on ait pas accès a l'inventaire, meme juste pour le consulter du menu, car je suis un brin collectionneur et j'aurait aimé pouvoir l'admirer...
Moi j'ai joué au dernier Hitman et pour te dire je ne me souviens pas de l'histoire ^^
Ce sera mon prochain achat. Mais il y a vraiment beaucoup de bug ?
Depuis le temps que je l'attendais, pour avoir jouer a tous les Hitman sur PC, il a vraiment l'air d’etre génial, de plus la durée de vie est considérable puisque après le mode Solo il y a le Mode en Ligne "Contrat". Les graphismes sont magnifiques. J'ai hâte de me l'acheter.
Je n'en ai pas encore rencontré, de quel bug s'agit il ?
Concernant l'histoire, il y a effectivement un passif interessant sur 47 mais pas nécessaire. C'est un tueur a gage qui a cherché a se retirer et a expier ses péchés, mais il a été manipulé.
Dans le dernier opus, son contact "agence" l'a décu et Absolution enchaine sur ca
Dans l'absolu, ca reste un jeu ou on incarne un tueur a gage prit dans les méandres des contrats dont il n'est pas toujours censé connaitre la finalité