Hitman: Absolution : Après six ans d’attente insoutenable, Hitman: Absolution est-il le Hitman que les fans attendaient ?
Dès l’introduction, les nouveautés se montrent. Baignant dans une mise en scène lorgnant beaucoup du côté du Septième Art, le scénario nous emmène tout d’abord liquider l’une de nos plus anciennes partenaires : Diana Burnwood. Accusée d’avoir trahi l’Agence, elle est traquée par 47, lequel essaie de se convaincre que « ce n’est qu’un contrat de plus ». Comme bien souvent, tout ne se passe pas comme prévu. Davantage personnelle, l'intrigue met en exergue un 47 plus humain, ce qui marque la première différence par rapport aux autres opus de la série. Du reste, puisque moins tortueuse qu’auparavant, l’histoire perd petit à petit de l’intérêt, malgré quelques moments forts qui réjouiront les fans comme les néophytes.
Davantage personnelle, l'intrigue met en exergue un 47 plus humain.
Les vingt missions proposées vous occuperont une bonne quinzaine d’heures si vous jouez avec quelques aides. Cette durée de vie peut varier selon le mode de difficulté, en sachant que la rejouabilité du titre est certaine. Contrairement aux anciens Hitman, les différents objectifs ne vous feront pas voyager aux quatre coins du monde. Mais vous visiterez tout de même plusieurs villes des États-Unis. La variété des décors est un réel atout du jeu, attendez-vous donc à progresser dans des environnements tels qu’un Chinatown bondé de monde, de sombres égouts, des champs de blé, entre autres.
Par ailleurs, d’autres ingrédients viennent grossir le temps passé sur la console. Par exemple, les preuves, à ramasser au gré de vos pérégrinations, font augmenter le score attribué à chaque fin de segment. Il sert à débloquer différentes capacités (augmentation de la discrétion, amélioration de la résistance aux coups, ...). Et si vous aviez l’intention de tuer tout ce qui bouge pour progresser plus rapidement, il va falloir rebrousser chemin. En effet, la note diminue pour chaque victime non désignée ou encore à chaque fois que vous êtes repéré. De fait, Il faut réfléchir avant d’agir, et dans certains cas, recommencer un passage pour arriver à ses fins tout en limitant la casse.
Commenter 7 commentaires
Lire la news : TEST - Hitman: Absolution - 47 s'infiltre sur nos consoles
Le mode en ligne, je ne l'ai pas essayé, mais j'ai eu vent du principe et je n'en ai entendu que du bien. un vrai Little big planet de l'assassinat, il me tarde de l'essayer.
Je regrete juste qu'on ait pas accès a l'inventaire, meme juste pour le consulter du menu, car je suis un brin collectionneur et j'aurait aimé pouvoir l'admirer...
Moi j'ai joué au dernier Hitman et pour te dire je ne me souviens pas de l'histoire ^^
Ce sera mon prochain achat. Mais il y a vraiment beaucoup de bug ?
Depuis le temps que je l'attendais, pour avoir jouer a tous les Hitman sur PC, il a vraiment l'air d’etre génial, de plus la durée de vie est considérable puisque après le mode Solo il y a le Mode en Ligne "Contrat". Les graphismes sont magnifiques. J'ai hâte de me l'acheter.
Je n'en ai pas encore rencontré, de quel bug s'agit il ?
Concernant l'histoire, il y a effectivement un passif interessant sur 47 mais pas nécessaire. C'est un tueur a gage qui a cherché a se retirer et a expier ses péchés, mais il a été manipulé.
Dans le dernier opus, son contact "agence" l'a décu et Absolution enchaine sur ca
Dans l'absolu, ca reste un jeu ou on incarne un tueur a gage prit dans les méandres des contrats dont il n'est pas toujours censé connaitre la finalité