TEST - God of War : Kratos est mort, vive Kratos !

Plus nous avançons dans le jeu, et plus nos héros deviennent forts. Le studio de développement propose un système d'évolution intéressant (mais pas révolutionnaire) qui permet de jouir de personnages à notre image. Lors d'un affrontement, le joueur récupère des points d'expérience qui vont lui permettre de débloquer certaines aptitudes. Ainsi, il est essentiel de se promener un peu partout dans le royaume pour partir à la chasse aux vilaines bébêtes afin de devenir plus puissant.

God of War, ce n'est pas que du rentre-dedans.

Car oui, God of War, ce n'est pas que du rentre-dedans, c'est aussi plusieurs lieux à explorer afin de débusquer des objets et de la monnaie ; souvent éparpillés dans d'énormes coffres (#souvenirs). Pour ? Concevoir des équipements qui nous protègent des colosses menaçants. Nous pouvons alors privilégier certains points (comme la Force, la Défense, la Santé, etc.) pour être à l'aise pendant un combat. Les capacités sont nombreuses et se doivent d’être assimilées pour exécuter des coups dévastateurs ; un vrai plaisir une fois que le tout trotte dans la tête.

Comme nous venons de le dire, cette production ne se focalise pas uniquement sur de la castagne. En effet, pour progresser, il est essentiel de fouiller les univers, mais aussi de s'attarder sur plusieurs énigmes. « Comment débloquer tel ou tel passage ? Que dois-je faire pour avancer ? », certains moments font remuer les méninges, mais rien n'est extrêmement difficile. Il faut juste, de temps à autre, se poser un instant pour scruter le paysage afin de comprendre les choses et trouver la solution. Une fois dénichée, un « eurêka, mais c'est bien sûr » est expulsé de la bouche.

Chose plus qu'agréable, quelques rébus ne se réalisent pas seul, mais à deux. Le jeune Atreus entre en scène et nous assiste quand il le faut. « Sers-toi de ton arc ! », « monte sur la plateforme », « fais tomber la chaîne », sans lui, notre bon vieux héros n'avance plus.