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firewatch 1

TEST - Firewatch : un tour de force narratif marquant

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Firewatch : Bien plus qu'un simple jeu d'aventure, Firewatch s'inscrit dans la lignée de ces expériences visuelles et narratives qui en marquent plus d'un.

Comment fonctionne le gameplay de Firewatch ? Et qu'est-ce qu'il raconte ? Il est finalement impossible de dissocier les mécaniques de jeu de la narration. Nous incarnons donc Henry, à la première personne. Mais avant de rentrer dans son corps, nous découvrons son passé au travers la courte histoire de sa rencontre avec Julia, sa petite amie. Nous pouvons même choisir quelques passages de sa vie, du choix du chien à une bataille dans un bar, ce qui aura de faibles répercussions sur la suite du récit. Très vite, nous nous rendons compte que l'histoire d'amour entre les deux individus n'est plus ce qu'elle était, et qu'Henry veut se changer les idées.

De l'humour et des bonnes blagues.

firewatch 4Nous l'incarnons ensuite à la première personne pour le reste de l'aventure. Notre périple débute par la recherche de notre poste de guet, sur les conseils de notre seul contact radio, Delilah. Elle sera notre seul lien avec l'extérieur, alors que nous sommes à deux jours à pied de toute civilisation. Après avoir pris nos marques et appris à nous repérer dans ce petit monde ouvert à l'aide de notre carte et de notre boussole, notre première journée de travail débute par la prise en chasse de fauteurs de trouble qui jouent avec des feux d'artifice. Le contact avec les malfrats se passe mal, et à notre retour, alors que la nuit tombe, nous croisons une autre mystérieuse silhouette qui nous surveille avec sa lampe torche. Notre tour a elle été saccagée. L'été commence mal.

Tout le reste de notre aventure sera donc consacrée à la recherche d'informations sur ces troubles fêtes, qui vont nous causer de plus en plus de soucis. Pour cela, le système de jeu restera extrêmement sobre, avec des interactions possibles avec de nombreux éléments de l'environnement pour lancer des discussions ciblées avec Delilah, et quelques objets spéciaux à utiliser, comme une lampe torche ou des cordes pour explorer des zones sombres ou accéder à des zones séparées par de fortes pentes. Nous avons aussi le loisir de découvrir quelques caches d'items renfermant des notes d'autres gardes forestiers, afin d'enrichir l'univers et le scénario, ou d'étranges livres. Renferment-ils un véritable secret ou sont-ils là pour apporter encore plus de corps aux personnages, des surveillants tous férus de lecture : honnêtement, nous ne le savons pas. Au passage, pied de nez aux jeux où les secrets sont légion, le code des coffres est ici toujours le même, car les gardes n'ont pas voulu faire trop compliqué : de l'humour et des bonnes blagues du genre, il y en a décidément un peu partout.

L'exploration et la progression se font elles de manière dynamique, avec des zones inaccessibles qui le deviennent au fil du scénario et une facilité de déplacement renforcée par des repères visuels et un level design parfaitement pensé, sans presque jamais nous faire rencontrer de barrière naturelle "forcée". Le monde ouvert n'est après tout pas très grand, et au cours de quelques excursions, il serait presque possible de finir par s'y retrouver.

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Commenter 3 commentaires

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nathrakh
Pour ce genre de jeu, je ne trouve pas que la durée de vie soit un problème. C'est le genre de jeux que j'aime me faire un dimanche après midi sans prise de tète, comme un film. Par contre le prix a intérêt à être en conséquence.
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Nimo
nathrakh Wrote:Pour ce genre de jeu, je ne trouve pas que la durée de vie soit un problème. C'est le genre de jeux que j'aime me faire un dimanche après midi sans prise de tète, comme un film. Par contre le prix a intérêt à être en conséquence.


Tout à fait du même avis :) Pour ma part, j'attendrais surement la sortie de la traduction française pour le prendre :!:

Pour le prix il sera d'environ 19€ (probablement un peu moins pour les abonnés au PSN+)
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