Disney Infinity : Le tant attendu projet et ses figurines sont-ils à la hauteur ?
Par exemple, dans Pirates des Caraïbes, nous débutons dans un grand port, pavé de bonus à collecter et d'expérience à récolter (les niveaux de personnages permettant eux de débloquer des "tours" pour obtenir un objet aléatoire dans la Toy Box). Mais très vite, nous rejoignons Maître Gibbs pour prendre le contrôle d'un bateau et partir en mer. Oui, nous pouvons contrôler un navire, explorer librement un petit univers maritime composé d'îles, de ports et d'autres recoins à visiter, et même prendre part à des batailles navales, où le flux des vagues entre par exemple en jeu.
Ce qu'il faut retenir de ces univers, c'est leur diversité.
Dans ce pack, de nombreuses capsules à récolter permettent de débloquer dans le magasin de nombreux objets de personnalisation pour notre rafiot, à échanger contre des pièces récoltées sur le terrain. Des armes à l'esthétique, il est possible choisir de nombreux aspects de notre bateau pour déterminer comment nous nous déferons des navires ennemis. Une fois à terre, quelques pirates peuvent être éliminés avec un sabre, un pistolet ou même des bombes. Les phases d'exploration y sont aussi nombreuses, avec des séquences de plateforme, d'escalade et compagnie, et des zones secrètes au rendez-vous.
Dans Monstres Académie, même topo au niveau des mécanismes, avec quelques quartiers de notre université et de celle de nos rivaux à fouiller, dans une ambiance bon enfant. Ici, tout l'univers maritime est remplacé par des blagues potaches, à base de balles de peinture, et de cris par surprise. Il est possible d'utiliser des bicyclettes pour quelques épreuves dédiées, de prendre part à des défis paintball et plus encore. Comme dans tous les mondes, nous pouvons aussi agripper tous les passants qui font vivre les lieux ; ici des monstres ; pour les balancer dans des lieux dédiés afin de les personnaliser, encore une fois avec des objets récoltés. Une bonne manière de s'amuser et de donner lieu à quelques courts défis.
Pour terminer, Metropolis, la cité des Indestructibles, accueille des combats faisant appel à la force surhumaine du père de famille, et des déplacements basés sur des outils et accessoires créés par les équipes d'Edna Mode. Un Delta Pack nous permettant de planer et un aéroglisseur gardant une hauteur fixe pendant plusieurs secondes permettent d'offrir de nouvelles possibilités dans les explorations, avec de nombreux jeux sur la taille des immeubles, pour une expérience encore une fois assez différente. Après l'aventure et la comédie, ici, la place est à l'action. À noter quand même l'introduction dans ce chapitre des voitures, sympathiques et relativement faciles à piloter, et des hélicoptères, qui sont en revanche un véritable calvaire à manier, même pour un joueur averti (alors qu'en serait-il d'un enfant...).
Ce qu'il faut retenir de ces univers, c'est leur diversité, non seulement entre eux, mais aussi au sein d'un même Pack Aventure. Variété de véhicules, d'ennemis, d'accessoires et outils, de missions, d'objets à récolter... Des défis à trois niveaux de difficulté permettent eux de rallonger un peu nos épopées, que ce soit en récoltant des pièces, éliminant des ennemis, passant des checkpoints, ou plus encore, toujours avec un temps à battre. Dommage que dans l'immense majorité, qu'il s'agisse des défis ou des missions, tout soit toujours très facile, public jeune oblige, mais aussi très court. Les objectifs prennent parfois quelques dizaines de secondes, déplacements exclus, ce qui réduit donc fortement la durée de vie de chaque Pack Aventure. Comptez trois à quatre heures pour terminer les missions principales, une ou deux de plus pour compléter tous les défis et collecter l'intégralité des objets et bonus. Au final, cela représente tout de même une bonne dizaine d'heures, sans compter le temps passé dans la Toy Box.
Commenter 8 commentaires
Quelle est ta définition d'un jeu qui n'est pas une pompe à fric ? Avec exemples ^^
Même les Dlc de CoD reviennent moins cher c'est dire .
c'est dommage le jeux est assez sympas, les univers sont bien travaillé et on redécouvre avec plaisir ces derniers.
Après mettre un moins comme quoi y a pas de défis pour les gros gamer ......
C'est un peu comme dire que Barbie c'est nul parce que c'est pas fait pour les mecs.
Y a un oublic visé et c'ets pas les gamer mais le porte monnaie des parents euh les enfants
Vous avez lu le test ? Il me semble que l'auteur a clairement affirmé que oui, le prix du jeu est élevé, mais que les figurines sont des objets de collection pour beaucoup. Et cette fois, à un prix abordable. Si si, j'vous jure, 13 € la figurine ce n'est pas cher quand on compare à des jouets en magasins spécialisés.
Et pourquoi comparer avec le modélisme ? C'est pas du jeux video les gens qui se lance la dedans savent trés bien à quoi s'attendre . Alors que les jeux type skylander c'est beaucoup plus vicieux vue que ça vise les gamins via le porte feuille des parent .
Et bon la comparaison est facile mais pour disney infinity faut prendre en compte le prix de la console , le jeux , les figurine .
A ce compte la 3/4 boites de lego revienne moins cher et le gamins joueras plus longtemps avec vue que ça dépend beaucoup de la créativité du gamin .
Faut lire les tests jusqu'au bout, j'ai bien dit que c'était le genre de jeu qui se destine aux enfants, et à tous les amoureux des univers Disney, quelque soit leur âge, et c'est dommage que la difficulté puisse pas être plus élevée, car le concept pouvait s'adresser à tous, et c'est pas ça qui empêchera tous les fans de Disney d'y jouer, quelque soit leur âge.
C'est comme les film, c’est de tous ages mais PRINCIPALEMENT pour les enfants