Splatterhouse : Une jeune fille kidnappée, un homme à moitié mort et un masque maya sadique : un visa pour une aventure sang pour sang.
Au final, Splatterhouse est un naufragé du beat them all : une licence avec une forte identité, une belle notoriété chez les adeptes du genre et un potentiel de jeu intéressant puisqu'absolument tous les faits et gestes du joueur sont quantifiés en vue d'un objectif précis à atteindre (x Splatterkills, y membres arrachés, z monstres tués en Berserk, etc.), ce qui en fait ainsi un système parfaitement adapté aux traditionnels trophées/succès.
Cependant, le jeu souffre de défauts de programmation trop flagrants ainsi que d'un goût très basique dans la conception et le design des niveaux, chose que le joueur pourrait aisément pardonner si seulement les développeurs avaient pu faire correctement leur travail. Donc malheureusement, Splatterhouse passe d'un statut de jeu-hommage digne de ce nom à remake moyen d'un vieux hit d'antan et sincèrement, il ne lui manquait pas grand-chose pour faire un réel carton. Tant pis, Namco Bandai Games peut toujours tenter d'amadouer les hypothétiques acquéreurs en communiquant sur les 18 photos de Jennifer presqu'à poil... Remarquez, ça peut être un argument de vente.
• Un beat them all pure souche |
• Un level design peu inspiré |
• Du gore, du sang et des mutilations |
• Le combat contre le boss final ultra-raté |
• Le doublage américain de Rick et du masque |
• Pas mal de bugs en tous genres |
• Jennifer presqu'à poil ! |
• Jennifer presqu'à poil... |
Commenter 3 commentaires
C'est vrai que le jeu est quelque peu répétitif, les ennemis ne sont pas très variés, mais j'ai vraiment accroché au concept.
Merci pour ce test !
Darkstar a résumé ma pensée .
Merci pour le test .