TEST - Fist of the North Star: Ken's Rage 2 – Ça saigne dans nos consoles

Manette en mains, la première chose que nous constatons, c'est que nous ne pouvons plus sauter. En effet, la touche qui permettait cette action a été remplacée par l'esquive/dash. Gênant ? Non, et c'est même beaucoup plus pratique. Nous avons alors la possibilité d'enchaîner plusieurs combos et éviter des attaques en un clin d’œil en appuyant le moment voulu. La prise en main est plutôt simple et se fait instinctivement.

Un bouton permet de donner un coup léger, l'autre plus fort, tandis que le dernier déclenche une super attaque. En combinant nos différents assauts, notre héros pourra exécuter diverses techniques qui élimineront tout un tas d'ennemis en un rien de temps. Pour tout vous dire, la jouabilité est beaucoup plus nerveuse, plus intense que l'opus précédent et c'est tant mieux. Tout au long du jeu, notre personnage principal, Kenshirô, gagnera en compétence et apprendra de nouvelles offensives qui peuvent être sélectionnées avec la croix multidirectionnelle. Néanmoins, il faudra mettre son « niveau » à jour pour les amorcer.

Rentrons donc dans le vif du sujet. Dans cette nouvelle production, une partie, que nous qualifierons de « personallisation », permet de faire évoluer l’Héritier de la Grande Ourse. De ce fait, des caractéristiques (force, aura, santé, etc.), sous forme de pastilles, peuvent être attribuées dans cinq emplacements différents. Plus nous avançons dans notre périple et plus nous pouvons en récupérer. Celles-ci se combinent entre elles pour augmenter les quelques barres (énergie et compagnie) affichées en haut de l’écran. À vous de faire le bon choix afin de finir une étape sans la moindre égratignure...