Dragon Ball Raging Blast 2 : La bande à Gokû est de retour dans les coulisses de XBOXGen. Depuis le temps, voici notre test de Dragon Ball Raging Blast 2.
Ce second volet repart sur de nouvelles bases en nous proposant des graphismes en 3D cette fois-ci. Adieu le Cell-Shading et bonjour polygone bien net et luisant.
À première vue, et à travers quelques screenshots, les fans ont commencé à serrer les dents en se demandant : « mais que fait Spike ? ». En effet, s'il y a bien une chose que nous avons appréciée dans le premier épisode, c'est bien la modélisation des personnages. Au final, où en sommes-nous aujourd'hui ? Eh bien, ce n'est pas si moche que cela n'y parait. Les couleurs, les contrastes et la luminosité font que nos héros ont un charme particulier qui nous amuse la rétine, mais sans plus. Les effets sont plutôt réussis dans l'ensemble, bien que les jeux de lumière, telle que l'aura entourant nos personnages, ont parfois du mal à se marier avec l'environnement. Le 60 images par seconde est toujours présent pour notre plus grand plaisir et c'est tant mieux. La firme a de nouveau travaillé sur les mouvements ainsi que sur les expressions faciales de chaque protagoniste. Nous reconnaissons tout de suite la gestuelle si parfaite de l'animé, c'est à s'y méprendre. Ralentissement lors d'un coup important, effet de flou lors d'une téléportation, fini l'écran splitté lors d'une ultime attaque. Bref, tout y est pour nous plonger en plein cœur de la série.
Au niveau des décors, c'est mieux, mais ce n'est pas encore au top. Alors, oui c'est beau, oui nous avons enfin une plus large gamme d'environnements à détruire, oui cela ressemble à l'univers de Toriyama, mais c'est le genre de graphisme que nous voulions, il y a plus d'un an. C'est d'un basique sans grand intérêt au bout du compte. Dans le même sens que la sortie d'un probable Dragon Ball Raging Blast 3 possèdera les graphismes que nous voudrions cette année. Un an de décalage esthétiquement parlant, c'est vraiment dommage...
Nous découvrons également l'OAV de Dr. Raichi refait en haute définition et spécialement pour le soft. L'image est agréable, mais le design de la team Z laisse à désirer.
Pour conclure, Spike nous fait l'effort d'améliorer les défauts du premier opus et de retoucher aux personnages pour les passer dans une modélisation tout en 3D, cela nous a étonnés et surpris. Un rendu plutôt correct, mais qui manque un « je ne sais quoi » pour conquérir à 100 pour cent notre cœur.
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