TEST - Assassin's Creed Chronicles: China - Un spin-off cantonné à pas grand-chose
par Maxime ClaudelAssassin's Creed Chronicles: China : Ubisoft a ouvert des chroniques sur sa saga phare. Il est temps d'accueillir la prénommée Shao Jun.
Nous sommes en 1526, dans une période trouble alors que la dynastie Ming vacille. Zhang Yong, chef d'un groupe d'eunuques appelés les Tigres, a tué la branche chinoise de la confrérie des Assassins. Ces Templiers dirigent la Chine dans l'ombre, après avoir mis un empereur fantoche sur le trône. Mais Shao Jun, rescapée de la tuerie et ancienne disciple d'Ezio Auditore, va vouloir se venger. Pour traquer un à un ses ennemis, elle commence par se faire capturer...
Des graphismes mi-figue mi-raisin, qui font tout sauf rêver.
Une simple vendetta, ni plus ni moins. Assassin's Creed Chronicles: China ne va pas chercher midi à quatorze heures et conte l'éternelle intrigue de l'orpheline désirant retrouver les bourreaux ayant occis les siens. Alors, bien sûr, les aficionados des AC seront ravis de retrouver Shao Jun autre part que dans un simple dessin animé et auront peut-être leur petite larme lors des (rare) apparitions d'Ezio Auditore. Pour le reste, la métahistoire n'avance pas d'un iota et, à part zigouiller du Templier, Shao Jun ne s'affirme pas plus que cela. Dommage, elle méritait sans doute mieux, ne serait-ce que par ses origines.
Si Assassin's Creed Chronicles: China a définitivement une patte avec ce mélange entre "peinture traditionnelle" (l'encre de Chine) et le "style impressionniste", force est de reconnaître que la sauce artistique ne prend pas. La faute, déjà, à quelques défauts techniques, notamment des ralentissements. Ensuite, les décors traversés, à l'exception d'un passage furtif dans les rizières, sont loin d'inciter à l'émerveillement, la faute à manque de variété (les forteresses, c'est cool un moment). De fait, nous nous retrouvons avec des graphismes mi-figue mi-raisin, qui font tout sauf rêver malgré une Chine qui, à priori, ne manquait pas de charme à l'époque. À contrario, les cinématiques, façon estampes animées, sont vraiment belles.
Côté bande-son, il faut composer avec des voix en anglais et des musiques plongeant dans l'ambiance asiatique. Quant au sound design...
Commenter 22 commentaires
C'est ce que j'allais dire. Enfin j'allais surtout dire qu'il n'y avait plus de métahistoire à partir de AC brotherhood.
Cantonné comme le riz ?
Digimon world ps1
En Europe, le jeu est commercialisé en juillet 2001. En France, il est commercialisé le 5 juillet 2001, et distribué par la société française Infogrames4. La version européenne du jeu contient par ailleurs un bug empêchant son entière progression8 ; la plupart des endroits, tels que la Forteresse d'Ogremon et Bourg l'industrie, sont inaccessibles, et le joueur ne peut donc achever le jeu. Il existe cependant plusieurs alternatives pour le contourner, comme une manipulation, néanmoins difficile mais pas impossible11, ou plus récemment, un patch espagnol DIY12.
et la pas de patch correctif
On parle aussi de megaman ?
J ai 52 épées excalibur dans FFVI, parfois les combats se bloquent, freeze la console, j ai des pixels à la place des persos, des attaques pour Edward qui ont disparu..... Bref bien bugué le jeu et aucun patch, donkey Kong 64, obliger d avoir le ram pack pour éviter un big qui freeze la console, des jeux bugués et finis à la pisse, y en a toujours eu et avant y avait jamais de patch, mais les joueurs ont la mémoire courte ^^
Très déçu pour ce China même si je le prendrai quand même pour me faire mon propre avis, mais j avais bon espoir vu qu Ubi se plante jamais dans les "petits" jeux psn (Child of Light, soldats inconnus...) mais là ca n augure rien de bon, surtout qu y avait beaucoup de potentiel avec ce personnage, quel gâchis :/
J'espère juste que ce n'était pas un test pour jauger du potentiel de certaines locations pour des titres de plus grande envergure, parce que sinon on ne risque pas d'avoir d'opus en Asie de sitôt...