Alien: Isolation : Sauf l'Alien, peut-être...
Après l'affront Aliens: Colonial Marines, SEGA a à cœur de se réconcilier avec la 20th Century Fox, d'une part, et les fans de la célèbre saga amorcée par Ridley Scott en 1979, d'autre part. Pour ce faire, la firme nippone a confié le développement d'Alien: Isolation à The Creative Assembly en affinant une ambition : revenir aux sources et ne jamais les quitter.
Exit, donc, l'action spectaculaire avec une tonne d'Aliens à dézinguer. Bonjour une expérience proche de la peur, en forme de miroir du film Alien, le huitième passager. Une seule femme, Amanda Ripley, contre un seul Xenormorph. Le duel promet d'être mémorable, car il y a une légende à inscrire : celle de la fille d'Ellen Ripley, héroïne immortalisée par Sigourney Weaver au cinéma.
Mais le goût amer laissé par Aliens: Colonial Marines reste bien présent au moment où nous rentrons dans le Sevastopol. C'est l'autre objectif d'Alien: Isolation : faire oublier avant de marquer à jamais.
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Note : test réalisé à partir d'une version PC.
Commenter 26 commentaires
Ah jsuis bête il aura mis 20 sur 20
J'attends ma clef steam vite vu la note alors que St pitch est quand même assez dur envers les jeux !
Enfin un jeu qui s'en tape si ça choque les plus sensibles, ENFIN un jeu qui se veut vraiment angoissant au risque de provoquer des fuites dans les caleçons de certain(e)s haha
Hâte de l'essayer, habitué du genre, j'espère que ce jeu me fera avoir peur, ça fait longtemps que ce n'est pas arrivé
PS : Enfin une adaptation réussie
J'ai été privé de ce plaisir par fanboyisme notoire ^^
17, une note dure ? C'est énorme de lire ça. C'est une très bonne note...
Pas faux. Mea Culpa ^^