Notre visite au TGS Ohanami en images, et en vidéos, sans oublier le carnet de bord de notre aventure qui fut épique !
2 heures du matin, nous voilà arrivés à l'hôtel. Une bonne douche et tout le monde se laissent glisser dans les bras de Morphée. Cependant, le réveil réglé sur 6 heures ne va pas nous laisser dormir très longtemps.
6 heures du matin, le réveil sonne, MaGiXieN contacte son assurance pour savoir quand il peut espérer avoir un véhicule de dépannage.
Toutes les demi-heures, il récidive, pour finalement s'entendre dire que le seul véhicule disponible entre Martigues et Arles est une classe A. Or, il est impossible de faire tenir, dans une Fiat 500, quatre personnes et la quantité astronomique de bagages, même en poussant très fort. La crise ne semble pas toucher les loueurs de voitures.
MaGiXieN prend alors la décision de tenter une réparation, plutôt que de risquer d'attendre davantage. Après avoir appelé le taxi, le même que la veille, nous voilà partis vers la zone industrielle où se cache notre voiture. Récupération faite, nous partons avec un véhicule qui perd de l'essence, mais qui devrait nous emmener jusqu'au garage.
En route vers le garagiste qui pourra nous dépanner.
10h15, nous sommes arrivés dans le Feu Vert local (une fois encore, "même pas peur" mais surtout le seul endroit où la réparation sera prise en charge gracieusement - C'est le moins qu'il soit possible de faire pour l'enseigne). Pour la dixième fois au moins depuis hier, nous entendons MaGiXieN répéter, dans le détail, notre mésaventure. Le chef d'atelier comprend le souci, analyse la situation et, n'ayant pas la pièce en stock, propose une réparation provisoire. Nous pouvons donc repartir et la réparation complète se fera à Nice. Nous avons déjà perdu plus de 9 heures sur notre planning initial.
Plus compétents à Martigues qu'à Nice, chez feu vert !
11h10, c'est la fête, quelque chose nous dit que nous ne devons pas arriver à Toulouse. Sur la nationale 113, nous sommes coincés dans un embouteillage. A priori, pas de raison particulière, mais juste du monde en ce samedi matin.
12h30, nous sommes sortis d'un premier bouchon pour en trouver un autre, dû à un accident. Toulouse, où es-tu ? La radio annonce une collision, entre une voiture et deux camions, créant un ralentissement sur 13 km.
Bref, que du bonheur. Les automobilistes en ont marre et ils l'expriment, même inconsciemment (voir ci-dessous)
13h20, nous dépassons enfin le lieu de l'accident et, le temps d'une pause casse-croute, nous reprenons la route.
Après des heures de galère, nous voilà avec le vent en poupe !
13h46, en voyant cette peinture sur le mur de l'autoroute, nous sentons comme un message subliminal. Aurions-nous un chat noir dans notre sillage ?
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@ angelk si tu passe par la un jour sache que j’adore tes carnet de bord, il sont originale et sympas a lire. Cela veut dire continuer comme ça