Que nous réserve l'édition 2013/2014 de la simulation reine ?
Cruelle coïncidence. C’est au lendemain de l’élimination du PSG en Ligue des Champions qu’Electronic Arts nous a conviés à voir FIFA 14 pour la première fois. Contrairement à l’année dernière, ce n’était pas au Parc des Princes, mais qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse. D’ailleurs, à ce sujet, les producteurs Nick Channon et Sebastian Enrique ont été plutôt bavards, ne cessant de nous asséner d’expressions plus barbares les unes que les autres, dans le seul but de nous faire comprendre que, oui, FIFA 14 ira plus loin encore que son prédécesseur. Nous voilà donc partis pour un petit échauffement en vue d’un match – solo uniquement – qui s’annonce des plus copieux.
Le leitmotiv de FIFA 14 sera de nous faire vivre des buts uniques, des "rewarding goals"
N’y allons pas par quatre chemins, FIFA 14 ne devrait pas être aussi révolutionnaire que FIFA 13, lequel avait eu le bon goût – et la riche idée – de renforcer l’attaque et ajuster les défenses. De fait, après nous avoir rappelé les ingrédients d’une bonne expérience footballistique, Nick Channon et Sebastian Enrique ont expliqué que le leitmotiv de FIFA 14 sera de nous faire vivre des buts uniques, des "rewarding goals" comme ils aiment les appeler. Tout ça pour que chaque finition ait sa propre identité, renforçant davantage son importance.
Forcément, pour arriver à un tel résultat, plusieurs ingrédients ont été ajoutés/modifiés. En premier lieu, la construction a été quelque peu revue, notamment en rendant les dribbles plus réalistes, plus payants ou – à contrario - plus risqués. En ce sens, le First Touch Control – élément introduit dans FIFA 13 - a subi quelques changements de manière à ce que nous puissions mieux évaluer l’opportunité de dribbler. Cela passe autant par la justesse de la passe reçue, que le talent du joueur (Ronaldo sera plus habile qu’un autre) ou par la physique de la balle, plus proche de ce que nous voyons le dimanche soir sur Canal + (exemple : elle peut être repoussée plus loin en fonction des conditions). Les bénéfices portent notamment sur la créativité et la réactivité (savoir saisir les brèches).
Toujours du côté offensif, sachez que l’intelligence artificielle des coéquipiers continue sa courbe ascendante, via des courses plus en phase avec l’action en cours (les attaquants se créent des espaces) tandis que les passes en cloche sont plus gratifiantes. Pour contrebalancer ces points, les défenseurs offrent un pressing plus agressif et un soutien plus marqué. En outre, ils bénéficient désormais d’une deuxième chance pour certains tacles ratés (en fonction de leur position par rapport au taclé). L’idée est de maximiser les batailles au milieu de terrain, de manière à éviter l’aspect tennis (passer d’un camp à l’autre à vitesse grand V).
Commenter 6 commentaires
Et les joueurs qui se prendront pour des basketteurs
Perso, une fois sur deux, les mecs font des mains, ou alors des contrôles de merde.
Enfin qui sait, peut-être que ça fait parti des améliorations du mode carrière...
Car perso ça me gène...
Paris à perdu hier soir, alors que Beckham à merdé sa passe pour le 2-0 ...
Sinon pour moi cela reste un jeu de foot et j'attendrai toujours 6 mois environ pou m'acheter l'édition de l'année (mars-avril 2014 pour fifa 14)