Bioshock Infinite était présenté à l'écart des visiteurs lors de la GamesCom. Découvrez nos premières impressions.
En changeant d'univers, les développeurs ont souhaité, une fois de plus, définir une nouvelle expérience humaine en représentant non pas une époque de l'Histoire, mais plutôt le reflet d'une société. Après ces belles explications, le producteur s'installe devant son écran, manette en main, et nous assistons à une démonstration du titre (NDLR : identique à celle présentée à New York).
Dans les premières secondes, des visages apparaissent comme dans une belle vidéo d'introduction. Grossière erreur, la séquence de gameplay a déjà commencé, et nous découvrons la vision de Booker DeWitt qui, en réalité, est finalement face à une affiche vantant les mérites de la cité. Si les graphismes de Bioshock avaient enchanté à l'époque, le nouveau moteur graphique est capable de prouesses largement supérieures.
Avec une belle voix grave, nous entendons ses premières pensées, ses premières interrogations au sujet de la ville. En remontant une avenue pavée, nous découvrons les premiers éléments caractéristiques de la licence : à gauche, un cheval mécanique descend, traînant une charrette sans roues. Le choc des sabots contre la pierre mêlés aux étincelles produites par la carriole sont un véritable régal, tant pour les yeux que pour les oreilles. Plus haut, le cadavre d'un véritable équidé sert de pâture aux corbeaux qui s'envolent à notre approche.
Soudain, un immeuble flottant à quelques dizaines de mètres de "l'île" où nous nous trouvons s'effondre, et la cloche qu'il supportait vient rouler à nos pieds dans un fracas assourdissant. À notre droite, la ménagère qui balaie le porche de sa maison en flammes ne s'inquiète absolument pas de l'évènement et poursuit son ménage. Le fait que sa maison soit en train d'être consumée par les flammes ne semble pas la déranger non plus.
Sans se démonter, notre héros poursuit sa route, son regard glissant sur les affiches de propagande électorale du vieux SaltonStall, politicien dont la popularité n'est pas encore vérifiée. La première partie du voyage de Booker DeWiit s'achève dans un parc verdoyant, où chaque détail est sublime, qu'il s'agisse des feuilles des arbres, des ombres ou des effets de lumière. Assis sur un banc, un homme nourrit tranquillement des dizaines de corbeaux.
Commenter 9 commentaires
Déja que le premier Bioshock était pour ma part graphiquement hyper beau ( les effets de l'eau , les effets de lumière et d'ombres ... ! ) tout comme le charme de Rapture que je ne peux le décrire ! en faisant l'impasse sur le deuxième opus mais que j'ai pus l'essayer récemment chez un pote , c'est vrai que l'effet de suprise de Rapture est quasiment nul et assez lassant à la longue et graphiquement on avait vu beaucoup mieux mais d'aprés vos dires ce Bioshock Infinite a l'air d'être somptueux graphiquement et également sur un plan de la modélisation des visages et de leurs expressions que vous comparez au magnifique Heavy Rain , tout est dit graphiquement sa va faire trés mal !
Ensuite le mode coopération va être tout juste démentiel tout comme le scénario qui m'a l'air également grandiose et l'envie de découvrir pleinement ce Columbia est a son apogée ( personnellement ! ) en tout cas l'attente va être trés longue et comme vous le dites fort bien , celui-ci est déja un must !
Vivement 2012
Ps: Très bon dossier merci
J'ai pas arrêté de baver pendant toute la lecture
J'adore les jeux à l'ambiance atypique comme Portal, Bioshock, borderlands, mirror's edge, enfin bref qui sortent vraiment de l'ordinaire, et là... franchement je sent que ça va être super
Le système de coopération me rappel Ico, formidable jeu lui aussi.
Bref j'attends la sortie avec une grosse impatience
Bioshock premier du nom m'avais bluffer par son univers si atypique et celui là à l'air juste magnifique.
J'ai fini le premier bioshock et j'ai tout de suite accroché à son univers, son embiance et je n'ai même pas acheté le 2. ^^'
Je vais surement me le prendre d'ailleurs. ça va être long d'attendre jusque 2012