BEST-OF Old Gen : les jeux qui ont marqué notre rédaction ces sept dernières années

• Final Fantasy VII Remake (Square Enix, 2020) :

C'est un jeu que j'attendais au tournant, et Square Enix a su me surprendre. Et pour cause, la firme a su revisiter un grand classique, qui a bercé mon enfance, avec brio. C'est comme remonter le temps et vivre un moment marquant, mais d'une autre manière, d'une autre façon... De plus, si vous suivez un peu les théories du net se basant sur le livre On the Way to a Smile Final Fantasy VII, vous comprendrez que, finalement, ce remake n'en est pas un, mais une sorte de monde alternatif au jeu de base, avec des univers qui se suivent. Kazushige Nojima, le scénariste, a pensé à tout pour nous retourner la tête, et ça marche. Bravo !

• Resident Evil 2 (Capcom, 2019) :

Resident Evil 2 est l'un de mes titres préférés de la première PlayStation, je pense l'avoir terminé une bonne centaine de fois ; j'achève la partie avec Leon en moins d'une heure pour vous donner une idée... Forcément, quand Capcom a annoncé un remake de cette bombe d'antan, mes poils se sont hérissés. Et je trouve que le travail accompli est tout bonnement excellent. Je n'ai plus mes repères, et j'ai redécouvert avec plaisir cette aventure horrifique avec des graphismes modernisés... Incroyable !

• Dragon Ball FighterZ (Bandai Namco, 2018) :

« Quand un jeu surpasse l'anime ! », tels ont été les mots des aficionados en découvrant ce jeu de combat signé Arc System Works, et je suis d'accord avec eux. L'équipe nippone, en plus de proposer un titre ultra dynamique, accessible et technique à la fois, a su rendre hommage à l'œuvre d'Akira Toriyama. Le seul point que je regrette depuis le temps : le manque cruel de stages... Mais le plaisir est toujours là en lançant une partie.

• God of War (Santa Monica Studio, 2018) :

Je ne suis pas très fan des God of War à la base... Disons que j'ai adoré les histoires des premiers opus, mais j'ai toujours exécré la prise en main. Forcément, avec la venue d'un nouveau titre sur PS4, je ne m'attendais pas à grand-chose. Puis au fil des annonces, des vidéos, des images, mon intérêt pour le titre s'est intensifié. Quand j'ai fini la bête, je tremblais... de joie et d'excitation. L’expérience a été incroyable ! Cory Barlog et son équipe ont su rebondir pour relancer la licence avec panache. L'un de mes jeux favoris sur PS4, sans l'ombre d'un doute !

• Crash Team Racing Nitro-Fueled (Activision, 2019) :

Une merveille des années 90 a fait son retour dans nos machines actuelles, et ça fait du bien de mettre la main sur un jeu de course totalement déjanté, autre que Mario Kart. C'est un peu le genre de titre que tu sors quand des potes débarquent à la maison pour passer un bon moment. De plus, les développeurs ont apporté un peu de frais pour passer le temps, que demander de plus ?

• Street Fighter V - et ses diverses éditions - (Capcom, 2016) :

Je pense que c'est le jeu auquel j'ai joué le plus sur PS4, depuis sa sortie jusqu'à aujourd'hui. La licence Street Fighter a grandi avec moi, et ce cinquième opus est une merveille. Et pour cause, l'équipe a su récupérer le cœur de Street Fighter IV et l'essence de Street Fighter III pour proposer un épisode qui mélange réflexion, anticipation et action. Il est toujours invité à la fête quand des amis débarquent à la maison. Plusieurs manettes y sont passées...

• Dragon Quest XI : Les Combattants de la Destinée (Square Enix, 2017) :

Dragon Quest VIII est mon titre préféré de la licence. De l'aventure et de la magie, cette aventure d'antan m'avait pris aux tripes. Dans l’esprit, Dragon Quest XI : Les Combattants de la destinée m'a fait grandement pensé au huitième volet, j'ai retrouvé cette sensation perdue, cette folie, en achevant la bête. La version 3DS est une perle au passage, dommage qu'elle ne soit pas dispo en Occident...

• Final Fantasy XV (Square Enix, 2016) :

L’épisode qui divise... C'est bien, c'est nul. C'est trop court, c'est trop long. C'est beau, c'est moche. Eh bien, personnellement, j'ai adoré. Final Fantasy XV m'a fait voyager, et certains passages m'ont fait arracher la mâchoire ! J'ai apprécié la prise en main dynamique, et le monde ouvert digne d'un Final Fantasy (adieu couloirs ennuyeux de certains épisodes). En fait, je me suis attaché aux personnages et j'ai eu énormément de mal à lâcher la manette tant que je n'avais pas vu le générique final. Et une production qui arrive à capter mon attention pendant plusieurs heures, c'est forcément une œuvre qui finit dans ma collection et que je referais un jour pour revivre des moments cultes.

• Sekiro: Shadows Die Twice (Activision, 2019) :

Je ne pensais pas qu'un tel titre me marquerait autant. La difficulté peut paraître insurmontable pour certains, et pourtant, je trouve que le niveau n'est pas si élevé que ça, il suffit d'un minimum d'attention et de réflexe pour arriver au bout de cette odyssée. À mes yeux, FromSoftware a conçu un Tenchu moderne en reprenant quelques mécaniques d'autrefois. Dur de passer à côté quand on est fan des mythes japonais et de la culture de l'Est.

• Star Wars Battlefront (Electronic Arts, 2015) :

J'ai passé des heures, et des heures, et encore des heures sur le multijoueur. Entre les batailles dans des cartes gigantesques, avec des véhicules en tout genre, et des affrontements dans l'espace avec des vaisseaux tirés de la franchise Star Wars, mon cerveau s'est éteint plusieurs fois pour laisser place au plaisir. Point plutôt marrant, j'ai préféré le premier opus au deuxième... « Escadron de Chasseurs - Campement Jawa », à 10 contre 10, à jamais dans mon cœur.

Clint008 Rédacteur - Testeur