BEST-OF Old Gen : les jeux qui ont marqué notre rédaction ces sept dernières années

• Red Dead Redemption 2 (Rockstar, 2018) :

J'ai pris mon temps pour jouer à Red Dead Redemption 2, et j'ai aimé ça. Son rythme lent et lancinant, ses musiques enivrantes et son ambiance western délicieuse m'ont captivé durant toute la campagne, et ce véritable road trip en bande avec des personnages hauts en couleur se déguste encore mieux qu'une série télévisée. Les moments les plus marquants du jeu et les chevauchées vengeresques resteront quelques-uns de mes plus beaux moments sur cette génération de consoles.

• Final Fantasy VII Remake (Square Enix, 2020) :

Pour certains, le jeu du premier confinement était Animal Crossing: New Horizons, mais pour moi, ce sera Final Fantasy VII Remake. Je n'ai jamais autant joué au jeu vidéo dans ma vie que cette semaine-là, complètement immergé dans ce Midgar complètement sublimé par les technologies modernes. La mise en scène et les personnages incroyables, les cut scenes et cinématiques sont pour moi celles qui m'ont donné le plus de sensations cette génération, et le système de combat pourtant si basique, mais avec tellement de subtilités m'a donné envie d'instantanément enchaîner sur un New Game+ (jamais terminé, tant pis) juste pour me replonger dans cet univers et perfectionner ma maîtrise du jeu.

• Ori and the Blind Forest (Moon Studios, 2015) :

J'ai toujours eu un faible pour les Metroidvania, la courbe de progression du gameplay et l'envie de tout explorer à 100 % y étant pour moi plus catchy qu'avec n'importe quel autre type de jeu. Des deux Ori, je retiendrai surtout The Blind Forest pour sa fraîcheur, sa magie et son ambiance : Will of the Wisps n'a rien lui à envier, bien au contraire, mais j'ai eu le malheur de le terminer le matin même du jour de la mise à jour corrigeant ses effroyables défauts techniques sur Xbox One, ce qui me laissera toujours un arrière-goût amer à l'idée d'avoir découvert un tel jeu dans des conditions non optimales. Les problèmes sont désormais réglés, alors foncez, les deux titres sont incontournables.

• Tales from the Borderlands (Telltale Games, 2014) :

Vous avez déjà ri devant un jeu vidéo ? Personnellement, ça m'arrive rarement, mais Tales from the Borderlands est certainement celui qui m'a fait le plus décroché de sourires, et m'a même fait rire vocalement à plusieurs reprises. Sans être un fan hardcore des Borderlands, il m'a laissé un très bon souvenir par sa dynamique et son ton rare, et a aussi eu l'avantage d'être le premier jeu Telltale que j'ai pu essayer, les mécaniques redondantes des productions du studio étaient alors fraîches et rafraichissantes pour moi.

• Deus Ex: Mankind Divided (Eidos Montréal, 2016) :

À quoi bon s'extasier devant Cyberpunk 2077 quand nous avons déjà un excellent jeu d'action, d'aventure et d'infiltration dans un monde futuriste avec des augmentations ? Passionnant de bout en bout, Deus Ex: Mankind Divided profite d'un level design et d'un système de compétences ultra-bien pensé, qui le rend aussi bien jouable façon Solid Snake que Marcus Fenix. Mon faible pour la thématique des augmentations humaines a rendu les deux derniers épisodes particulièrement fascinants pour moi, et il faudrait décidément que je relance une partie en attendant la suite.

• Ratchet & Clank (Insomniac Games, 2016) :

Je l'ai fini 3 fois, alors rien que pour ça, il mérite de terminer dans mon top. Comme tous ses prédécesseurs, Ratchet & Clank est fun, Ratchet & Clank est drôle, Ratchet & Clank est généreux, et son gameplay basique couplé à des armes loufoques qu'il est toujours possible de faire évoluer fait que j'ai toujours vraiment du mal à lâcher la manette, alors que je suis toujours envieux de débloquer une amélioration de plus. Certes, cet épisode aux presque allures de remake n'est pas original, mais sa technique quasiment irréprochable et son système de jeu font que j'ai régulièrement envie de le relancer pour une partie de plus.

• Until Dawn (Supermassive Games, 2015) :

Les jeux d'horreur sont des incontournables de l'industrie vidéoludique, mais Until Dawn a réussi l'exploit de se rapprocher du slasher cinématographique comme rarement. L'ambiance teen movie est extra, le mystère est prenant, et malgré ses mécaniques un peu rouillées, le titre se joue d'une traite, seul ou à plusieurs. Vraiment dommage que Supermassive Games n'ait pas réussi à retrouver cette étincelle dans ses projets suivants.

• Horizon: Zero Dawn (Guerrilla Games, 2017) :

Avec le recul, cela me parait étonnant, mais je n'étais pas du tout hypé par Horizon: Zero Dawn avant d'y jouer. Quelle erreur, car même si je n'ai pas trop accroché à l'histoire, le système de combat ultra-nerveux et les sublimes décors m'ont captivé durant toute ma partie, extension comprise, et j'attends impatiemment la suite pour retrouver ces sensations.

• Persona 5 (P Studio, 2016) :

Autant se le dire, plus le temps passe, et moins j'ai de temps à accorder au jeu vidéo. Mais Persona 5 aura réussi à me captiver comme rarement et à m'occuper pendant bien des journées de l'été 2017, sa vibe unique, son gameplay simple et efficace et son histoire passionnante m'ayant tenu en haleine jusqu'au bout. Dommage que je n'aurai certainement jamais le courage de le reparcourir pour découvrir les morceaux exclusifs de Persona 5 Royal...

• Transistor (Supergiant Games, 2016) :

À l'E3 2013, juste avant de quitter le salon et alors que j'avais encore un peu de temps à tuer, je suis tombé par hasard sur la démo de Transistor, et le coup de cœur fut instantané. Avec le jeu complet, mon premier contact avec le savoir-faire de Supergiant Games m'a laissé un souvenir mémorable, grâce à cette direction artistique exquise et ce système de jeu accrocheur. Il faut décidément que je lance Hadès un de ces jours.

Clint008 Rédacteur - Testeur