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TEST - The Evil Within 2 : un condensé de survival-horror

par

The Evil Within 2 : Sebastian est de retour dans un monde lugubre, empli de créatures en tout genre.

Sebastian Castellanos apprend une nouvelle, de la bouche de Juli Kidman, qui le chamboule au point de ne pas y croire, sa fille Lilly est vivante. Traîné de force chez Mobius, il se rend vite compte que sa progéniture n'a jamais passé l'arme à gauche. Sans sourciller, il plonge dans le STEM. Seulement voilà, si la société l'a fait venir, c'est pour faire appel à ses services. Une mission importante lui est confiée, le cauchemar ne fait que commencer...

Comptez une bonne grosse dizaine d’heures pour atteindre le boss final.

The Evil Within 2 headL’histoire est bien rythmée, mais quelque peu décousue. Nous sentons que l’équipe de développement s’est grandement inspiré du chef-d’œuvre de Naughty Dog, The Last of Us, pour créer un univers plus prenant et poignant. Cette aventure surprend et, chose amusante, quand le joueur pense arriver au bout du tunnel, le scénario bascule sur un nouveau chapitre, sur un rebondissement inédit.

Comme nous l’avons précisé, The Evil Within 2 se déroule dans une sorte de petit monde ouvert. Ainsi, le joueur peut, en plus de sa quête principale, se lancer dans différentes missions secondaires qui permettent de récupérer pas mal d’objets pratiques. Mais ne tournons pas autour du pot, en prenant votre temps et en vous baladant un peu partout, comptez une bonne grosse dizaine d’heures pour atteindre le boss final. Comme tout un bon survival qui se respecte, la fin débloque des bonus ; de quoi s’éclater encore et encore pendant des heures devant son écran en somme.

Commenter 2 commentaires

BishopWalter
une histoire proche de The Last of Us


:lol: Bientôt on aura droit au fameux "The Last of us a inventé le genre" ou bien "C'est à The Last of us qu'on doit ça". Ça me rappelle "l'époque" où les gens me disait "mais tu sais c'est la première fois qu'on a une infection au cordyceps sur un être humain, ... jamais vu ailleurs" alors que Fringe sorti avant TLOU nous avait déjà servi un épisode de contamination par le cordyceps.
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l_o_l_o_60
C'est vrai que ce jeu reprend beaucoup d'idée des survivals horror déjà sortis auparavant. En même temps c'est pas évident de réolutionné le genre avec tous ce qui a déjà été fait. Perso moi ça ne me gêne pas, étant fan du genre je prend mon pied à parcourir cette nouvelle aventure de Sebastina Castellanos. Du moment que l'histoire est bien foutue, ce qui est le cas ici (à l'heure où j'écrit ces lignes j'en suis au chapitre 5), on a du mal à décrocher, plus on avance, plus on veut en apprendre et ça c'est vraiment un signe de la qualité d'un jeu.
Après il faut bien dire que tout n'est pas parfait comme mentionné dans l'article mais ces petits détails ne sont rien par à rapport à l'ensemble des points positifs du jeu. Donc, oui, si vous aimez le style, foncez c'est du tout bon !
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