Tales of Berseria : Quand la raison n'est plus raisonnable, la limite du bien et du mal sont très proches.
Les plus gros points ont été vus, mais le reste n'est pas abandonné, il y a de quoi faire dans le monde de Tales of Berseria. De nombreux mini-jeux sont disponibles et permettent de gagner des points Tales. Ces derniers sont indispensables pour acheter des costumes, accessoires de mode ou même des matériaux pour les améliorations. Même si les phases d'exploration et de recherche ne sont pas aussi développées que lors d'anciens épisodes, le jeu nous incite à visiter les moindres recoins, plusieurs fois s'il le faut, pour découvrir de nouvelles choses. Les coffres réapparaissent ainsi que les herbes, ce qui est pratique quand nous nous baladons sur la route ou dans les donjons.
Toutes ces petites mécaniques nous permettent de passer de bons et longs moments. Comptez facilement une centaine d'heures pour une première boucle du jeu. Diverses quêtes annexes rallongent cette durée, même après avoir terminé l'histoire principale. Et si vous avez l'esprit attrait à la complétion, vous pouvez recommencer en nouvelle partie + et ainsi bénéficier des bonus grâce aux points cumulés dans votre partie précédente.
Tales of Berseria en a dans le ventre. L'histoire n'est pas surprenante, mais plutôt intéressante d'un point de vue humain (en plus de compléter le scénario de Tales of Zestiria), mais elle est surtout très bien rythmée tout au long du jeu. Les personnages sont très attachants, protagonistes comme antagonistes. Les phases de combat sont jouissives au possible et ne sont jamais lassantes. La bande-son est toujours présente, mais pas envahissante. La durée de vie est énorme, comme à son habitude. Cependant, c'est aussi un problème qu'il soit si bon, car nous avons l'impression que ce n'est pas assez. Nous en voulons encore plus malgré tout ce qu'il a à nous offrir. En bref, cet épisode est un incontournable pour les fans comme les novices.
- Les combats, c'est de la balle
- Un scénario plaisant
- La bande-son
- Le gameplay global
- Les graphismes
- Les « héros »
- Le temps passé dans les menus
- Une impression de pas assez
Commenter 5 commentaires
Mais les épisodes 2D restent au dessus quand même.
Je vais le savoir mais pas sur le test de gamergen malheureusement.
Je ne suis pas un grand fan de Tales of, je n'avais pas aimé Symphonia et je n'arrive pas a me mettre à Grace f, mais j'avais beaucoup aimé Xillia 1. J'attendais donc le test avec impatience, voir si ça vaut le coup de le prendre; A l'évidence, oui
-Le système de combat est plus abouti et plus dynamique, on ne bourre pas bêtement qu'une seule touche (plein de combinaisons de combos qui s'inspire de Grace F en étant moins complexe à retenir)
-Fini la gestion compliquée de la caméra à la Zestiria, lorsqu'on enclenche un combat, on rentre dans une zone fermée, on ne peut plus se coller à un mur pour y bloquer la caméra.
-Les personnages sont plus attachants, l’héroïne est là pour se battre et affiche dès le départ sa détermination, pas de pleureuses ou héros shonen coincé, une mention spéciale à Magilou qui donne beaucoup de vie et de cohésion au groupe
-Berseria reste le jeu le plus beau jeu de la série en terme de détails visuel. Mème si la série n'a jamais vraiment atteint des sommets dans ce domaine ça a le mérite d'être souligné. Vesperia étant à part avec une caméra 3D relativement fermée, je ne le comparerai pas à un Tales of avec un champ de vision totalement ouvert.
Je ne rentrerai pas plus loin dans les détails vu que je ne l'ai pas encore fini, pour le moment je le mettrais dans mes Tales of préférée depuis que la série est passé à la 3D.
Encore à l'heure d'aujourd'hui Phantasia reste mon favori.