TEST- State of Decay: Year One Survival Edition - Plus il y a de zombies, mieux c'est ?

Du côté du gameplay, la chose est plutôt simple, puisqu’il existe une touche pour attaquer, une touche pour esquiver, une touche pour courir et une touche pour utiliser un objet. La croix directionnelle est là pour accéder au journal, dans lequel il est possible de retrouver les différents personnages, les missions en cours ou encore les exploits passés. Elle permet aussi de choisir l’objet à utiliser et appeler la base, afin de placer quelques camps permettant de déposer des provisions, ou encore obtenir du renfort dans la recherche de vivres.

Si jamais l’un des personnages meurt, il faudra aller chercher ses affaires sur le lieu du décès, cela permettant de limiter la perte de moral.

Il faut aussi penser à améliorer son camp principal, en ajoutant des lits, une infirmerie, ou encore une cuisine, chaque élément ayant son importance, et pouvant être amélioré. Bien entendu, cela ne se fera pas sans ressources, il convient donc d'aller explorer chaque recoin des bâtiments extérieurs, en prenant soin d’éliminer les quelques zombies qui y traîneraient. En effet, si jamais des zones se retrouvent infestées de morts-vivants, le moral du groupe sera influencé, et il faudra alors prendre les armes pour nettoyer le quartier.

Le groupe de survivants se retrouve au cœur des mécaniques de jeu, puisqu’il faudra veiller à garder le moral au beau fixe, sans quoi les actions possibles seront limitées. Un moral qui se retrouve diminué par la mort de l’un des membres, alors que ramener en entier l’un des personnages partis en mission pendant votre pause casse-croûte aura l’effet inverse. Il faut aussi gagner le respect du groupe, et cela se fait, à nouveau, en ramenant des ressources à la base. Ceci se matérialise par une barre d’influence, et permet de se servir sans gêne dans le frigo renfermant tout ce qui est nécessaire aux différentes escapades.

C’est finalement là l’un des plus gros points forts du titre, puisqu'il faudra sans cesse prendre soin de tout le monde, sans jamais laisser quelqu’un derrière. Si jamais l’un des personnages meurt, il faudra alors aller chercher ses affaires sur le lieu du décès, histoire de limiter la perte de moral. Si ce concept est bien pensé, et bien réalisé, il n’en reste pas moins répétitif à la longue, et l’impression de faire la même chose encore et toujours est bel et bien présente.