Bodycount : Quand Codemasters s'attaque aux FPS, ce n'est pas toujours fructueux.
Autant être clair et net dès le départ, et ne pas tourner autour du pot : graphiquement, Bodycount est daté et en dessous de tous les jeux qui se font actuellement. Propulsé par l'EGO ENGINE 1.0 (également utilisé par Race Driver: Grid en 2008 ainsi que Colin McRae: DiRT 2 et Operation Flashpoint: Dragon Rising en 2009), le tout est simplement une abomination pour nos rétines. Les textures manquent clairement de détail afin de paraître un minimum réelles, tout comme les ennemis qui ressemblent plus à de vulgaires épouvantails, que ce soit par rapport à leur traitement graphique ou leur physique ridicule. Et comme tout jeu "moyen" (pour être gentil) qui se respecte, l'aliasing est omniprésent, du début à la fin du titre. Ajoutons à cela de nombreuses baisses de framerate, alors que peu d'ennemis sont concentrés sur l'écran et que le jeu ne doit pas demander beaucoup de ressources vu le travail effectué, et nous obtenons un joli cocktail qui nous conforte dans nos premières impressions : Bodycount ne restera pas dans les annales, ou peut-être dans le mauvais sens.
Le level-design du FPS de Codemasters est tout aussi peu inspiré et ne peut même pas profiter d'une richesse de diversité puisque nous ne visitons que deux types de lieux : une ville d'Afrique de l'Ouest, et une région d'Asie de l'Est. Autant dire que nous avons vite fait le tour des décors. Bodycount se paye en plus le culot de nous faire revisiter des passages de ses missions. Encore, si les niveaux avaient été intéressants et jolis, la pilule serait passée, mais là, ça ressemble plus à de la fainéantise et du remplissage histoire de nous "tenir en haleine" quelques minutes supplémentaires.
Pour autant, tout n'est pas à jeter. Ainsi, la manière dont sont construits certains niveaux est intéressante. En effet, il ne s'agit pas toujours de longs couloirs infestés d'ennemis comme dans la plupart des autres FPS, mais de sortes de mini-cartes remplies de bâtiments qui donnent ainsi droit à plusieurs possibilités afin de remplir les objectifs. De plus, la destructibilité, qui n'est certes pas aussi poussée que dans la série Battlefield, est sympathique, et remonte quelque peu le niveau du jeu.
Commenter 13 commentaires
personnelement je m'été vraiment bien marrer lors de la démo , c'été tellemen pitoyable comme jeu, javais meme dit a mon frere que se jeux detronnerai MW3 tellement il est génial
mais je croit que enfaite pour etre plus serieux se jeux se dit etre le succésseur de BLACK, alors que BLACK été tous simplement une follie monstrueuse , un jeux d emalade
et la on se retrouver avec une vieille merde surement réaliser par mes mec qui devaient sniffer du Pec citron en se levant le matin
Moi je dit jouer a des jeux comme sa , sa devrait etre rembourser par la sécu
m'a fallu 2mn de demo pour le constater...
c'est bien beau de piquer des idées aux autres jeux, mais si c'est pour techniquement les foirer, ca sert a rien !
le concept papier peut etre interressant, mais une fois le jeu dans les mains, c'est un foirage grandiose ! je prefere encore jouer a brink !
m'enfin, ça fera un petit jeu sympa.. à 15 € dans 3-4 mois xD
C'était le jeux a saigné la mwamwa
Moi je trouve qu'il a quelque chose d'original ... Genre une belle jaquette ... Et encore si seulement je m'en servirait même pas pour allez au toilette =)
Pareil pour moi j'étais a 6% de la démo et j'ai annulé a cause des trop mauvaises critiques.
tu es tres pejoratif dans tes propos
Codemaster ont toujours su nous sortir de magnifiques perles du jeu video, pas que les voitures...
mais la, avec bodycount, ils viennent de se vautrer d'une maniere grandiose...
n'en voulons pas a codemaster, mais au jeu, tout simplement....
bah, la boulette, ca arrive meme aux meilleurs
J'aime pas ce que tu dis là , on dirait de suite que BRINK est de la même catégorie que Bodycount alors qu'il est excellent