PREVIEW - Dragon Quest XI : nos impressions après deux heures de jeu sur la version occidentale
par Eric de BrocartDragon Quest XI : Les Combattants de la Destinée : Les Combattants de la destinée vise à séduire au-delà de sa base de fans et Square Enix a mis en place les moyens pour qu'il puisse le faire.
Dragon Quest XI : Les Combattants de la destinée arrive plus de trente ans après le premier opus de ce qui est devenu, depuis, une licence étalon dans le style du J-RPG. Sorti l'année dernière au Japon, la version occidentale arrive par chez nous pour la rentrée, à savoir le 4 septembre prochain. Nous avons eu la chance de pouvoir y jouer, pendant deux petites heures, au travers de deux démos distinctes lors d'un évènement mis en place à Londres par Square Enix.
L'ajout des voix, au lieu des « bidibidibidi » traditionnels (réactivables pour les puristes) est un des points les plus importants de ce portage vers l'Occident.
La première nous a placés dans la peau du jeune héros qui part de Cobblestone, son village natal, pour aller à la rencontrer de son roi à Heliodor afin de lui faire part d'une découverte, il possède des pouvoirs magiques et la marque de lumière (The Mark of Light) qui font de lui la réincarnation de The Luminary. Contre toute attente, au lieu d'être accueilli en sauveur, il est considéré comme un être annonciateur de calamité et se retrouve enfermé au fin fond du donjon.
La seconde nous a transportés plus loin dans l'aventure, à Gallopolis, en compagnie de trois partenaires, Véronica (Mage noir), Erik (Voleur) et Serena (Soigneuse). Dans ce royaume, le jeune prince local doit passer un rite de passage à l'âge adulte qui consiste à gagner une course de chevaux appelée « Sand National ». Nous allons participer à cette course qui est une sorte de mini-jeu ou il faut gérer la vitesse du cheval en choisissant la meilleure trajectoire possible pour arriver à attraper les recharges de puissance. Cette parenthèse dans le système de jeu est amusante, mais ne présente pas réellement de challenge en soi.
Après cela, nous sommes rejoints par Sylvando, un artiste de cirque, qui vient compléter la cinquième place de notre équipe. Nous voilà partis pour une quête qui va nous permettre d'affronter de petits monstres, mais surtout, deux plus conséquents dont le boss « The Slayer of The Sand ».
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A priori, non. Comme dit dans la preview, c'est anglais ou bidibidi.
bon bah de toute façon ce sera du classique pour moi va pour les bon vieux bidibidi