PREVIEW - Dragon Age: Inquisition - Nos impressions après plusieurs heures sur le RPG d'EA

Alors que nous avions déjà essayé Dragon Age: Inquisition durant de longues minutes lors de la gamescom, il nous a été donné l'occasion la semaine dernière de nous rendre directement chez Electronic Arts, à Cologne, pour prendre en mains une version quasi définitive du jeu. Après plusieurs heures passées en sa compagnie, nous pouvons donc livrer un avis un peu plus complet sur ce titre qui s'apprête à sortir à la fin du mois.

Un véritable travail d'orfèvre qui laisse modifier chaque trait de son héros.

Comme tout bon jeu de rôle qui se respecte, Dragon Age: Inquisition commence par une personnalisation de son personnage, avec ici un nombre particulièrement incroyable de taquets laissant penser que nous préparons un Sims. Après le choix de la race et de la classe, commence un véritable travail d'orfèvre qui laisse modifier chaque trait de son héros jusqu'à la position de la pomme d'Adam. Après avoir passé un long moment à créer un étrange mélange entre le Grand Cornu de Dungeon Keeper et Borat, et avoir accepté le nom proposé automatiquement pour éviter de bloquer sur cette étape souvent fatidique pour bien des joueurs, nous nous sommes finalement lancés dans l'aventure.

Nous reprenons alors connaissance, attaché à une chaise en plein interrogatoire par une certaine Cassandra, qui nous laisse comprendre qu'une faille démoniaque s'est ouverte dans le ciel, vomissant des monstres à tour de bras, et que cet évènement météorologique plus que particulier aurait un lien avec cette marque verdâtre qui stigmatise au sens propre la main de notre héros à cornes. Plus que du racisme contre les Kazakhs à corne, la corrélation a été établie par la synchronicité entre les déferlements d'ennemis et les douleurs tuant notre héros à petit feu. Plus la faille palpite, plus les démons affluent et plus la mort se rapproche... La décision est vite prise et nous nous dirigeons alors tous ensemble malgré nos divergences vers l'origine du problème pour tenter de restaurer la paix sur le royaume. L'épopée peut donc commencer, même si plus tard nous apprendrons que ce souci n'est pas le seul que nous aurons à régler, certains bien-pensants ayant une autre vision des méthodes à employer...