Plants vs. Zombies: Garden Warfare 2 : PopCap Games a soigné la suite de son TPS délirant. Rendez-vous sur le Front de Jardin !
Les personnages sont au cœur de Plants vs. Zombies: Garden Warfare. Le casting reçoit six classes de plus, trois pour les zombies, trois pour les plantes. Le but est toujours autant de varier les sensations et de trouver le héros qui nous convient. En parallèle, il existe des tonnes de variations pour chacun des protagonistes (à débloquer au fur et à mesure), pour un maximum de choix offerts aux joueurs. Par exemple, le Tournesol vampire compense ses dégâts moindres par sa faculté à drainer la vie des ennemis pour régénérer la sienne. Ces petites différences au sein d'une même classe assurent que tout un chacun y trouvera son compte. Toutefois, vu la progression assez lente, il sera difficile, ou plutôt très chronophage, de maîtriser l'entièreté des troupes, l'expérience n'étant pas commune. Et c'est bien dommage !
S'amuser en toute liberté.
Pour ce Plants vs. Zombies: Garden Warfare 2, PopGames a simplifié l'interface au maximum, en transformant l'habituel menu en hub où se balader. Intitulé le Front du jardin, une zone où les deux factions se disputent indéfiniment le territoire, il sert de monde ouvert sur les différents modes de jeu, qu'ils soient solo, coopératifs ou multijoueur compétitif -, mais toujours convivial. De là, vous aurez tout le loisir d'aller où bon vous semble, quand vous voulez, pour faire ce que vous désirez, y compris changer de bonhomme, personnaliser celui que vous avez, dépenser votre argent pour acheter des boosters d'éléments (tourelles, accessoires, pièces de personnage, etc.), jeter un coup d'œil aux classements, changer de camp, farmer... En bref, s'amuser en toute liberté. Seul hic ? La connexion internet est tout le temps obligatoire...
Car que ce soit en solo ou en multi, Plants vs. Zombies: Garden Warfare 2 a du contenu à revendre. PopGames a répondu au principal reproche essuyé par son premier essai dans le genre. Pour les sessions en ligne, six modes différents, qui n'inventent rien mais sont suffisamment variés, sont proposés et étalés sur douze cartes à l'ambiance différente. De prime abord, les plantes ont l'air d'avoir un léger avantage sur les zombies, un chouïa plus puissants tout en étant plus difficiles à dompter avec leurs capacités bizarroïdes (chaque personne en possède trois). Vous n'avez pas envie de jouer sur internet ? Outre la campagne, il y a les matchs en Jardin/Cimetière Ops, un ersatz de mode Horde où les vagues de boss sont générées aléatoirement. Il est possible d'y jouer seul ou à plusieurs, en local ou non. Pour couronner, il existe aussi les boucles temporelles infinies, une expérience de survie où vous incarnez un robot chargé de se défendre contre... des nains ! Grosses récompenses à la clé.
Aussi, il est autorisé d'importer des données de Plants vs. Zombies: Garden Warfare, d'ajouter des paramètres foldingues aux matchs privés (exemple : faible gravité) ou encore d'accepter des quêtes journalières afin d'obtenir un multiplicateur d'expérience (ce qui ne sera pas de trop pour monter en niveau). N'hésitez pas à marcher dans le Front du Jardin, vous y dénicherez des trésors.
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