TEST - Danganronpa 2: Goodbye Despair - Le nounours tueur est de retour

Car une fois qu'un meurtre a été commis - et il y en aura au moins un par chapitre -, il va falloir passer à la phase de recherche des preuves pouvant incriminer le(s) tueur(s). Même si Monokuma dit que le chrono est limité, vous aurez tout le temps nécessaire pour rassembler l'intégralité des preuves avant de passer au tribunal. C'est à ce moment-là que le véritable jeu commence : vous vous retrouvez face à face avec vos camarades survivants, sachant pertinemment que l'un d'entre eux est le tueur. Mais bien sûr, vous ne pourrez accuser sans preuves tangibles.

Pour un jeu 100 % anglais, c'est plutôt assez relevé.

Et c'est encore une fois là où le premier et le second opus se ressemblent et diffèrent : les mécanismes sont identiques entre les deux épisodes de Danganronpa, mais Goodbye Despair inclut des nouveautés comme la "Logic Dive" ou le "Rebuttal Showdown". Là où la première vous demandera de choisir votre route (la preuve que vous cherchez) dans une sorte de descente de snowboard, la seconde vous mettra face à face avec un de vos camarades n'étant absolument pas d'accord avec votre argumentation. Il vous faudra alors gagner contre lui, en détruisant dans un premier temps son argumentation avant de trouver la faiblesse dans cette dernière.

Pour le reste, le mode "Panic Talk Action" du précédent opus demeure grosso modo le même, vous devrez appuyer sur X en rythme pour détruire les arguments adverses, et à la fin vous devrez organiser votre argument final en appuyant sur les touches présentes à l'écran dans le bon sens, afin d'exprimer votre pensée. "Make Your Argument" est quant à lui exactement le même, une phase de soutien (les arguments sont surlignés en bleu) a juste été rajoutée, mais les mécanismes - mémorisation des mots, destruction du bruit, etc. - ont été conservés.

Dernière épreuve, le "Hangman's Gambit" - le pendu - est de retour, mais cette fois il est beaucoup plus difficile que dans l'opus précédent : il n'y a aucune lettre déjà présente pour vous aiguiller, seul le nombre de mots ainsi que le nombre de lettres le composant sont présents. Pour un jeu 100 % anglais, c'est plutôt assez relevé comme challenge, surtout qu'il va vous falloir mémoriser une bonne tonne d'informations à chaque fois, en plus des noms et prénoms des différents protagonistes. Prévoyez une fiche récapitulative, du moins au début, afin de ne pas vous embrouiller lors des débats.

Une fois n'est pas coutume, la difficulté influe sur le temps que vous avez lors de chaque phase de débat, ainsi qu'au nombre de balles mises à votre disposition pour contrer les arguments de vos adversaires. Notez qu'une seule de ces balles est la bonne réponse, les autres ne sont là que pour vous embrouiller. Une fois l'argumentation terminée, il vous faudra reconstruire un nombre de panneaux retraçant le crime depuis sa fomentation ; encore une fois, en temps limité, où les images proposées ne seront pas forcément utiles...