TEST - Bayonetta

Au niveau de la bande-son, il faut savoir que tout se mêle à l’ambiance du jeu. C'est-à-dire que chaque petits bruitages ou effets se collent parfaitement avec les différents environnements. Explosions, armes à feu, glissement de la lame dans le corps de votre adversaire, Bayonetta va vous en faire voir, ou plutôt, entendre de toutes sortes. Le son suit le rythme de votre aventure, l’immersion sonore se fait donc dès les premières minutes. Dans un ton glamour flashy, la version remixée de Fly Me To The Moon va vous rester dans la tête pendant de longues heures. Les doublages quant à eux sont en anglais. Les différentes voix collent divinement bien aux personnages. Prenons Bayonetta par exemple, ses douces paroles sadiques, psychotiques et tellement sexy vous donneront des frissons de plaisir. Soit on aime soit on n’aime pas, mais nous, on adore ! Tout simplement admirable.

Pour ce qui est de la durée de vie, comme nous vous l’avions dit, vous aurez du mal à atteindre la fin avec facilité. Le mode "normal" est vraiment complexe pour un début. C’est pourquoi il vous faudra une douzaine, voir même une quinzaine d’heures pour venir à bout de la bête si vous n’êtes pas un professionnel du pad. Pour les sadiques, le mode  "difficile" sera accessible une fois le jeu terminé. Si vous êtes un chasseur de trophées, sachez qu’il y en a 51 à débloquer. Bref, entre finir le jeu, obtenir les bonus, débloquer les armes ou encore attraper les trophées, vous aurez de quoi faire pendant plusieurs heures. Un petit point négatif qui vous fera perdre de longues minutes : les temps de chargements. En insérant la galette dans la console, aucune installation n’est requise au démarrage. Nous nous sommes dit que Sega avait fait fort mais nous sommes tombés de haut en voyant la longueur des chargements. Heureusement, vous pouvez maîtriser la belle en attendant mais cela n’excuse pas tout. Cependant, il semblerait qu’un patch fasse son apparition prochainement pour régler ce problème...